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*** ci-dessous "Livres-mystiques".: un hommage à Roland Soyer décédé le 01 Juin 2011

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jeudi 25 octobre 2007

Pourquoi Symbole ?





Le labyrinthe de la cathédrale de Chartres Afficher et transmettre l’actualité des symboles : tel est le pari de Symbole, à la fois site Internet permanent, lettre électronique — et en 2007, livre-revue à parution annuelle. Quelques amis, écrivains, journalistes, chercheurs, se sont réunis pour constituer une petite arche de libre savoir, sous le parrainage de Frédérick Tristan, prix Goncourt (1983) pour Les Égarés, auteur de nombreux romans et essais — qui s’est intéressé de longue date aux grandes traditions spirituelles (Islam, Taoïsme, Christianisme…), au symbolisme, à l’iconologie et à la pensée traditionnelle. Les objectifs de Symbole ? Publier des textes fondamentaux jusque-là épars, épuisés ou introuvables ; évoquer les manifestations, les spectacles, les livres actuels honorant la démarche symbolique ; proposer aux lecteurs des témoignages et des portraits de ceux qui œuvrent ou ont œuvré en faveur d’une Tradition vivante. Mais, plus encore, il s’agira de décrypter, avec les clefs de la “pensée traditionnelle”, les tendances de l’actualité à travers la télévision, la publicité, le langage, les évolutions sociales, la mode, les rites… Le Manifeste ci-dessous éclaire le projet et la démarche de Symbole.

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Très bel article : La Mer d’airain ou la purification par roland Bermann,
en savoir + vous transporter sur l' excellent site de :
http://signes-et-symboles.org/index.html

sur BAGLIS TV : La gnose d' André Savoret par Jean-Pierre Bonnerot

















La gnose d'André Savoret
Par :
Jean-Pierre Bonnerot

André Savoret, disciple méconnu du Maitre Philippe de Lyon, nous est ici évoqué par Jean-Pierre Bonnerot.

Avant de devenir un mystique chrétien, André Savoret fut druide puis alchimiste. Même si le grand public retient surtout ses livres qui sont régulièrement reédités tels que "Visages du Druidisme" ou plus récemment "Du Menhir à la Croix", André Savoret fut avant tout un exégèse, dont les recherches portèrent essentiellement sur la question de la rédemption.

http://www.baglis.tv.

BAGLIS TV : La Tradition ou la Voie des Maîtres de Patrick Négrier


















nous avons le plaisir de vous informer de la disponibilité de
La Tradition ou la voie des maîtres
18-10-2007
Par : Patrick Négrier
La Tradition ou la voie des maîtres est une promenade méditative qui nous emmène sur les traces de Gurdjieff: au Prieuré des Basses Loges à Avon, près de Fontainebleau. C'est un document inédit sur un texte écrit spécialement par Patrick Négrier pour baglisTV.

Suite...sur baglisTV
http://www.baglis.tv.

mardi 23 octobre 2007

Coup de coeur : Le projet « Sagesses de l’Humanité »









Le projet « Sagesses de l’Humanité » associe les images d’Olivier Föllmi, l’un des photographes contemporains les plus réputés, à un choix de citations issues du patrimoine oral et écrit des peuples de la terre.

Chaque année sort un livre couvrant une aire culturelle.
Ainsi se constitue la collection "Sagesses de l'humanité".

Nouveautés : Révélations "365 pensées d'Amérique latine"
"Hommage à l'Afrique"


Un très beau site à découvrir avant 2010 !!

http://www.sagesses.com/

merci à notre ami J.-C Faure de la Librairie du Grand Chêne ( reférencé dans mes liens) merci pour cette info.

lundi 22 octobre 2007

* * * En Anglais : The Internet Sacred Text






The Internet Sacred Text Archive
Welcome to the largest freely available archive of online books about religion, mythology, folklore and the esoteric on the Internet. The site is dedicated to religious tolerance and scholarship, and has the largest readership of any similar site on the web.


Catalog
African
Age of Reason
Alchemy
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Theosophy
Time
Tolkien
UFOs
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Zoroastrianism

http://www.sacred-texts.com/index.htm

Michel Pastoureau est spécialiste du bestiaire héraldique médiéval et de l'histoire symbolique des sociétés européennes.


















Michel Pastoureau : L’Ours, histoire d’un roi déchu

Un essai de Michel Pastoureau

Il fut un temps où l’ours était considéré comme l’égal de l’homme. Aujourd’hui, des crétins mettent des morceaux de verre dans du miel pour tuer les quelques ours réimplantés dans les Pyrénées. Là est le fossé entre le monde moderne et le monde naturel. Le prix a payé pour notre ignorance sera exorbitant.

Michel Pastoureau, dans ce bel essai issu de ses cours à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes, nous rappelle que, du paléolithique à l’époque féodale, l’ours fut vénéré. On parla même d’une religion de l’ours. Ce fut avec l’extension du christianisme que l’ours devint une créature diabolique férocement traquée par les hommes. A travers l’ours, c’était bien entendu les anciens courants païens qui étaient visés. L’Eglise s’attaqua à l’ours comme elle s’était attaquée à la forêt et installa à sa place une autre figure puissante mais qu’elle pouvait symboliquement contrôler, le lion. L’ours connut alors des siècles d’humiliation avant de prendre sa revanche comme peluche préférée des enfants. Ce retour de l’ours par la médiation du jeu annonce-t-il le renversement nécessaire dans notre rapport à la nature ? Ici et là, pas à pas, l’ours regagne du territoire, difficilement, lentement et peut-être trop tardivement.

Le livre magnifique de Michel Pastoureau est un hymne à la nature à travers cet animal, emblématique s’il en est. Les connaissances de l’auteur, tant en histoire qu’en héraldique ou en symbolique permettent au lecteur de suivre la trajectoire de l’ours dans les représentations du monde des êtres humains. La chute de l’ours accompagne d’une certaine manière la chute de l’homme dans les ténèbres de l’artifice.

En rompant l’alliance primitive avec l’ours, l’homme s’est coupé de sa puissance originelle. Les peuples qui ont trahi l’ours, pensons aux gens du voyage qui ont fait de ce roi un clown souffrant, paient une dette sans fin. L’humanité devra restaurer l’alliance avec l’ours et, à travers lui avec toute la nature, pour espérer se retrouver elle-même. Sans l’ours, l’errance est interminable

Le Nouvel Observateur - L'ours était, en Europe, le roi des animaux. L'Eglise l'a diabolisé et puis dompté. Dans un livre passionnant, Michel Pastoureau raconte l'histoire de cette désacralisation. Et, pour « le Nouvel Observateur », il commente huit images, de la préhistoire à nos jours

Ce n’est pas un livre sur l’ours, mais un essai sur les relations passionnelles entre l’homme et l’ours au cours des derniers 30 000 ans que nous offre aujourd’hui Michel Pastoureau, cet historien médiéviste qui a le génie des sujets – auteur notamment de « l’Etoffe du Diable. Une histoire des rayures et des tissus rayés » et de « Bleu. Histoire d’une couleur ».

En 1969, dans la fusée qui les emmène vers la Lune, Neil Armstrong et ses deux compagnons emportent un ours en peluche, lointain témoignage de notre cousinage ancestral avec cet animal formidable qui avait « les mêmes espaces et les mêmes proies, les mêmes peurs et les mêmes cavernes », un animal totem qui fit probablement l’objet de cultes préhistoriques. Michel Pastoureau raconte comment ce terrible fauve, le premier roi des animaux, considéré comme le fondateur de dynasties royales, fut progressivement, par la volonté opiniâtre de l’Eglise et de ses clercs, bouté hors de son trône, exclu de sa place centrale dans les bestiaires européens, ridiculisé, dévalorisé, diabolisé, promené dans les foires. Jusqu’à ce qu’enfin le nounours lui apporte une dernière revanche symbolique – à l’heure où il est menacé de disparition.

« L’Ours. Histoire d’un roi déchu »
par Michel Pastoureau
Seuil, 418 p., 24 euros.

L'ours violeur

« Depuis des époques très anciennes, partout en Europe circule une croyance selon laquelle l'ours mâle est sexuellement attiré par les jeunes femmes et les jeunes filles : il les enlève, les viole, et elles accouchent d'êtres mi-hommes mi-ours qui sont toujours des guerriers invincibles et des fondateurs de dynasties. Au xiiie siècle, les rois de Danemark et de Norvège se font établir des généalogies montrant qu'ils ont pour ancêtres l'un de ces «fils d'ours». Pour l'Eglise médiévale, l'idée que l'ours et la femme puissent être interféconds est abominable, mais certains théologiens dissertent sur le sperme de l'ours comparé à celui de l'homme. Bien avant Darwin, l'idée d'un cousinage entre animaux et humains ne concerne pas le singe, considéré comme diabolique, mais l'ours et parfois le cochon. »

Crâne d'ours

« Dans la grotte Chauvet, découverte en 1994 en Ardèche, les peintures d'animaux datent d'environ 32 000 ans. Au centre de la «salle du crâne», on a trouvé ce crâne d'ours, placé sur un piton rocheux. Autour de lui, en demi-cercle, une douzaine d'autres crânes. Doit-on supposer l'existence d'une «religion de l'ours» chez les hommes de Cro-Magnon ou de Neandertal ? C'est une question qui fait débat chez les préhistoriens. Or l'existence d'un culte de l'ours est attestée dans les sociétés antiques et le haut Moyen Age chrétien. Et toutes les mythologies européennes font de l'ours un animal à part - dieu ou ancêtre de l'homme. Ces cultes sont-ils hérités du paléolithique ? Ils témoignent en tout cas de l'éclairage que l'histoire peut apporter à la préhistoire. »

Ours polaire

« En Europe, l'ours blanc est inconnu jusqu'à la fin du Moyen Age. Au xiiie siècle, le roi de Norvège offre au roi d'Angleterre l'un de ces animaux fabuleux, dit Piscator : il se baigne et pêche dans la Tamise. Les bourgeois de Londres lui achètent une chaîne en or. L'ours blanc ne prend vraiment sa place qu'à la fin du xixe siècle, quand on vient le voir dans les zoos et les cirques. Aujourd'hui, tout le monde sait qu'il s'agit d'une espèce menacée : la fonte de la banquise détruit ses territoires de chasse, et les survivants trouvent difficilement leur nourriture ; au point que les mâles adultes se comportent parfois en cannibales et dévorent les oursons. Sinistre fin pour un animal royal ! En historien des ours, j'en suis accablé. En citoyen de la planète, honteux et désespéré. »

Teddy-bear

« Ultime revanche de l'ours sur les hommes, l'ours en peluche naît en 1903, simultanément aux Etats-Unis et en Allemagne. L'histoire du teddy-bear est bien connue. Le président Theodore Roosevelt fait un safari dans le Mississippi. Pour lui éviter de rentrer bredouille, son entourage attache un ourson à un arbre, mais le président refuse de le tuer. Un fabricant de jouets de New York commémore l'événement en fabriquant le premier produit dérivé de l'histoire. Au même moment, à Stuttgart, Margarete Steiff commercialise un ours en peluche qui connaît aussi un grand succès. Avec l'ours en peluche, on voit renaître des pratiques de type cultuel comparables à celles des sociétés anciennes. L'enfant trouve en lui son premier compagnon, son ange gardien, son premier dieu. Contrairement à l'ours médiéval, le nounours n'a jamais abdiqué sa royauté. Malgré la concurrence des kangourous et autres pandas, il reste la star des peluches. »

L'armée des ours

«Malgré l'hostilité de l'Eglise envers l'ours, la ville de Berne arbore fièrement un ours sur sa bannière depuis le xiiie siècle. Un jeu de mots associe Bern, le nom de la ville, et le mot Bär, qui désigne l'ours en allemand. Berne est vraiment une ville à l'ours ; elle lui voue un culte comme à un animal totem. On y voit encore la fameuse fosse aux ours ; nous savons ce qu'ils mangeaient et quels étaient leurs noms. Au xve siècle, les habitants de Berne s'identifient à des ours, comme en témoigne cette étonnante peinture. Sous forme d'ours, ils partent affronter les troupes du duc de Bourgogne. Une identification efficace : en 1476, ils sont vainqueurs des troupes de Charles le Téméraire et s'emparent de son trésor, que l'on peut voir aujourd'hui au Musée historique de Berne. »

L'ours déchu

« Sur cette miniature du xiie siècle, l'ours n'est plus qu'un porteur de bagages. L'Eglise cherche à le déprécier en montrant que les hommes de Dieu sont plus forts que lui. L'anecdote est classique : saint Amand part en voyage, un âne porte ses bagages, arrive un ours qui dévore l'âne, mais le saint oblige la bête sauvage à prendre sa place. Les paroles du saint sont inspirées par Dieu, et l'ours comprend que rien ne sert de résister. Dans le même esprit, l'Eglise, qui déteste les spectacles d'animaux, tolère les montreurs d'ours au Moyen Age. Le roi des animaux devient une bête de cirque qui fait des cabrioles dans les foires, les gens peuvent le toucher, l'ours n'inspire plus la peur. »

L'ours courtisan

« Vers la fin du xiiie siècle, le roi-lion a détrôné le roi-ours dans toute l'Europe. Ce souverain venu d'Orient ne fait pas l'objet, comme son rival, de rituels préexistants, barbares et sanguinaires. Il appartient aux traditions écrites de la Bible et de l'Antiquité gréco-romaine alors que l'ours était l'animal des traditions orales. Sur cette image de la fin du xve siècle, le lion porte couronne et sceptre. L'ours est à ses pieds parmi ses courtisans. C'est l'histoire contée par le «Roman de Renart». Dans les plus anciennes versions, qui datent de la fin du xiie siècle, le lion est déjà le roi des animaux mais l'ours est encore son vice-roi. Bientôt il ne sera plus qu'un baron parmi d'autres, un courtisan ridicule auquel le goupil joue des tours. »

Chasse à l'ours

« On le voit sur cette image du début du xive siècle, la chasse à l'ours se pratique à pied. C'est une chasse violente, sauvage, un corps-à-corps entre l'homme et la bête avec échange de souffles et de sangs. Cette intimité bestiale terrifie les théologiens, et l'Eglise cherche à imposer la chasse au cerf, moins brutale. Mais les guerriers germains et slaves ont longtemps préféré l'ours, dont ils admirent la force. En le tuant, le guerrier capte sa puissance. En plein Moyen Age chrétien, les rituels païens subsistent ; le guerrier tue l'ours, boit son sang, revêt sa peau pour partir au combat. La lutte contre l'ours commence à l'époque de Charlemagne. Elle va durer des siècles, jusqu'à Saint Louis. Peu à peu la chasse à l'ours est dévaluée, la chasse au cerf s'impose comme divertissement royal, tandis que le lion devient le roi des animaux. »

Michel Pastoureau

Né à Paris en 1947, Michel Pastoureau est historien. Directeur d'études à l'Ecole pratique des hautes études (EPHE) et à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), il a notamment publié :

l'Etoffe du diable.
Une histoire des rayures et des tissus rayés (1991)
Les Animaux célèbres
Une histoire symbolique du Moyen Age occidental (2004)
Michel Pastoureau est spécialiste du bestiaire héraldique médiéval et de l'histoire symbolique des sociétés européennes.

Catherine David, Le Nouvel Observateur : http://tempsreel.nouvelobs.com/

L'Ours. Histoire d'un roi déchu
Michel Pastoureau
Edition SEUIL

Du monde des cavernes à celui de notre enfance, l'historien Michel Pastoureau déroule l'odyssée du fameux plantigrade. Passionnant

Chaque fois que l'on ouvre un livre de Michel Pastoureau, on sait que l'on s'embarque pour un passionnant voyage dont on reviendra un peu sonné, regardant le monde avec des yeux différents. L'auteur d'une histoire des rayures et des tissus rayés (L'Etoffe du diable) et de la couleur bleue s'est lancé dans une extraordinaire histoire de l'ours. Cette Histoire d'un roi déchu narre plus de trente mille ans de rapports entre le plantigrade et nous. Pas seulement dans l'imagerie populaire, l'héraldique ou les contes, mais jusque dans notre vocabulaire. On apprend ainsi que «baron» vient des langues germaniques - Bär, qui donnera baro, signifiant «celui qui frappe et qui tue».

Le récit de Michel Pastoureau part des cavernes préhistoriques, partagées par les hommes et les ours, pour se terminer dans le lit des tout-petits, avec leur ours en peluche, alors que l'espèce de cet animal longtemps considéré comme le roi des animaux (3,50 mètres pour un mâle debout, et jusqu'à 600 kilos), sans doute intercesseur auprès de l'au-delà, est pratiquement éteinte. Mais cette fresque sur laquelle souffle un vent picaresque est tout sauf sentimentale.

Au Moyen Age, l'ours symbolise le diable
L'historien nous raconte le travail de sape de l'Eglise, qui, pendant mille ans, a mis son énergie à combattre l'animal. Saint Augustin sera son plus farouche adversaire. A partir du Moyen Age, en effet, le diable est omniprésent, notamment dans les rêves des souverains et des moines («On rêve beaucoup en Occident à l'époque féodale», raconte Michel Pastoureau). Il adopte toutes sortes de déguisements pour tromper les humains, et l'ours, qui souvent terrorise les populations, finit par symboliser le Malin. Il faudra attendre les années 1950 pour que l'ours fasse son come-back - en peluche. C'est là sa revanche.

Jean-Sébastien Stehli
En partenariat avec l' Express : http://www.lexpress.fr

dimanche 21 octobre 2007

Vient de paraître : Le Discours de Venise - Second manifeste incohériste par Rémi Boyer


















Vient de paraître
Aux Editions Rafael de Surtis

Le Discours de Venise

Second manifeste incohériste

par

Rémi Boyer

Commentaires de Personne
Illustrations de Marie-France Chanel
Livre orné d’une peinture de Chloe des Lysses

Le premier manifeste incohériste, publié sous le titre Discours de Lisbonne, s’étendait des « Des gens de Lettres aux gens de l’Être ». Ce second manifeste qui approfondit les fondements posés alors, serpente « Des gens de l’Art aux gens de l’Être ». Il explore l’initiation comme art et l’art comme initiation afin de poser les bases d’une initiation aculturelle, dégagée des représentations et des projections d’une conscience identifiée, saut immédiat dans le non-duel.

Sommaire : Prélude - Manifeste incohériste K22( français et italien) - Un art de Rien - 515 incohériste - Oeuvrage et breuvage incohériste - Esquisse incohériste - Les Cartels incohéristes - Rituel des Fainéants de Nulle Part - Initiation incohériste.

Extrait : « Toute tradition est d’essence libertaire avant de se figer bien souvent en codes, règles, dogmes et même en politiques. Mais toute tradition génère aussi l’antidote à ce processus mortifère à travers ses rebelles, iconoclastes, insensés et génies de l’Etreté. Intéressez-vous à tous les Don Quichotte, à tous les moines fous. Ils indiquent plus sûrement la voie que les dépositaires officiels, habités qu’ils sont par l’Esprit Libre, ou encore le Non-Esprit. »

...........................................................
....................

Commande à retourner aux

Editions Rafael de Surtis, 7 rue Saint-Michel, 81170 Cordes-sur-Ciel

Nom : Prénom :

Adresse :

Commande ... exemplaire(s) du Discours de Venise au prix de 20 Euro l’unité (prix de lancement) franco de port.

Ci-joint mon règlement par chèque de ............... à l’ordre des Editions Rafael de Surtis.

http://perso.orange.fr/aa.duriot/incoherisme/accueil.htm

vendredi 19 octobre 2007

"ARBRE D' OR" propose 6 ouvrages sur support numérique :





info@arbredor.com

"...éternellement, la science des maîtres passera dans le coeur des disciples, dans un grand silence attentif, comme cette huille rousse de mes collines qui coule du pressoir dans la jarre par un longe fil d'or immbolie, sans faire de bulles, sans faire de bruit. (M. Pagnol)"


Joseph de Maistre, CONSIDÉRATIONS SUR LA FRANCE, suivi de MÉMOIRE SUR LA FRANC-MAÇONNERIE AU BARON VIGNET DES ÉTOLES et d’une notice sur LA JEUNESSE DE JOSEPH DE MAISTRE, par G. VALBERT
Collection Essais
130 pages – 672 Ko – 11.30 CHF / 7 €
Dans ces pages célèbres, Joseph de Maistre identifie les causes humaines de la Révolution ; mais il s’efforce aussi de mettre en évidence « les voies de la Providence » dans l’histoire.


JACOB BOEHME
, DE LA SIGNATURE DES CHOSES (DE SIGNATURA RERUM), suivi de PETITS TRAITÉS TRANSCRITS EN SUBSTANCE et d’un VOCABULAIRE DE LA TERMINOLOGIE DE JACOB BOEHME, par Sédir
Collection Mystique
200 pages – 1.1 Mo – 12.55 CHF / 7.75 €
En se servant de la terminologie alchimique, le « De signatura rerum » décrit en seize chapitres le processus de la régénération de l’âme.


JULIUS OBSEQUENS, LE LIVRE DES PRODIGES Prodigiorum Liber Édition bilingue — Traduction Nisard
Collection L'Inexpliqué
60 pages – 808 Ko – 9.70 CHF / 6 €
Ce livre est célèbre pour contenir des récits de phénomènes étranges survenus de 249 à 12 avant J.C. dont certains, aériens, sont aujourd’hui catalogués dans la catégorie des OVNI.


MARGUERIT PHILIPPE, LES CONTES DE MARC'HARILD FULUP
Collection Traditions Populaires
315 pages – 1.2 Mo – 14.50 CHF / 9 €
« La principale source de renseignements de François-Marie Luzel, je veux dire le maillon principal de la tradition au XIXe siècle, fut Marc’harid Fulup. Elle connaissait à elle seule, au moins 259 chants et 150 contes. »


EMMANUEL SWEDENBORG, LA NOUVELLE JÉRUSALEM ET SA DOCTRINE CELESTE
, précédé d'une notice sur sur Swedenborg par E.A. Sutton
Collection Mystique
88 pages – 464 Ko – 9.70 CHF / 6 €
Dans cet ouvrage, Swedenborg montre comment le sens littéral de l’Écriture sainte contient un sens spirituel, sens dont il a été chargé de révéler la nature.

JEAN VAUQUELIN des Yvetaux, BIBLIOTHÈQUE DES PHILOSOPHES CHIMIQUES ou LES BONS TRAITÉS, Volume I. Édition réalisée par Pierre Paroutaud
Collection Alchimie
142 pages – 3.4 Mo – 12.55 CHF / 7.75 €
Le texte de ce document est une reproduction fidèle du manuscrit de Louis Vauquelin des Yvetaux. Il contient les notes marginales, qui d’après Vauquelin des Yvetaux, sont d’un auteur qui a entièrement accompli le grand œuvre.


COMTE DE SAINT GERMAIN, LA TRÈS SAINTE TRINOSOPHIE

Collection Franc-Maçonnerie
45 pages – 2.4 Mo – 11.30 CHF / 7 €
L’auteur dit avoir rédigé ce cantique de la « Trine-Une Sophie », « dans l’azile des criminels, dans les cachots de l’Inquisition » et la tradition assure que ce manuscrit a été la propriété de Cagliostro et qu’il a été retrouvé par les soldats de Masséna dans les archives romaines de l’Inquisition.

Notez que seul le prix indiqué sur le site fait foi, en cas d’erreur qui se glisserait dans le présent courrier, malgré notre vigilance.
Pour toute info :

info@arbredor.com

Arbre d'Or Editions
Philippe et Patricia Camby

Livres PDF téléchargeables et payables en ligne
Online downloadable netbooks under PDF
http://www.arbredor.com
http://www.babyl-one.com

Marseille : Programme des Causeries & Rencontres – 2007- SCOOP : lors d' une conférence sur M. de Pasqually, Serge Caillet sera filmé par Baglis TV










Programme des Causeries & Rencontres – 2007 de la Librairie


-Samedi 27 Octobre à partir de 18h30.

«Martines de Pasqually : le théurge inconnu.»

avec Serge CAILLET.


En collaboration avec l'Institut Eléazar.


-Vendredi 9 Novembre à partir de 18h30

avec : Stephen SICARD (Logos) & Dominique BERTRAND.

En collaboration avec les Editions Signatura & Art Composite.

«Les 20 ans de musique pour le Coeur et l' Esprit»


Stephen Sicard, commence la musique par l'étude du violon dès l'âge de six ans sans imaginer que cet art magique l'emmènerait sur les rivages de la musique de relaxation et de bien-être. C'est en 1987 que sort le 1er album de Logos.

Dominique Bertrand, musicien
, formé à diverses musiques traditionnelles (Inde, Japon, Moyen Orient, Traditions chamaniques) – Travaille depuis 25 ans à confronter la pratique musicale à la réflexion philosophique.- Il vient de publier aux éditions Signatura «La Prière du Serpent – La voix dans la Bible».

Attention! Les places sont limitées. Prière de Réserver. Entrée Libre


-Samedi 24 Novembre à partir de 18h30

«Une lecture symbolique de l'oeuvre

de Villiers de l'Isle-Adam- (1838-1889)»

avec : Irène MAINGUY.

En collaboration avec les Editions Jean-Cyrille Godefroy


-Samedi 8 décembre à partir de 18h30


«Les Mystères de Channel Row»

avec : Roger DACHEZ.

En collaboration avec A.P.R.T


Plus d'informations : http://librairieletoiledumage.blogspot.com

Le samedi, 20 octobre à Béthune : une conférence de Mariette Cyvard sur la voyance







béthune
au dessus du parking souterrain de la place clémenceau à quelques 150 mètres du beffroi face au lycée de garçons (l'ancien)

*cyvard mariette donnera conférence sur le thème ? voyance ?*

il se propose de vous présenter ce qu'il en connaît et qui va plus loin que son ouvrage *abc de la voyance publié chez grancher paris* de répondre à vos questions comme d'éclairer votre perception du phénomène, croire ou ne pas croire, telle ne sera pas la question, ni affirmer informer sera la démarche, présenter un vécu, une forme du "penser" permettre qu'un préjugé devienne "réalité" ou de se construire une
opinion fondée sur un témoignage
*
ce samedi, 20 octobre à partir de 14 h 15
*et jusque 16 h environ (la médiathèque ferme ses portes à 17h)
l'occasion aussi de faire la connaissance d'un excellent outil de
travail, de divertissement, de recherches, d'histoire locale...

vous pouvez faire circuler librement ce message

jeudi 18 octobre 2007

le vendredi 19/10 à Marseille "Causeries et Rencontres-2007"









"Causeries et Rencontres-2007"

Nous vous rappelons que demain soir (vendredi 19 octobre - à partir de 19h30.)

Se tiendra une conférence PUBLIQUE avec :
Jean-Michel MATHONIERE - Historien - Auteur - Editeur.
"Maçonnerie et Compagnonnages : Mythes et Réalités",
Au Temple MPRP 164 chemin de Saint-Jean du Désert - 13005 Marseille.
Soirée organisée par le G.O.T.M.
Pour plus de renseignements - Simon .G : 06 74 18 44 70

Si vous le souhaitez, vous pouvez nous faire parvenir vos programmes de conférences afin de pouvoir faire circuler les informations.

Pouvez-vous faire suivre la Lettre du Libraire

Bien amicalement,

Laurence & Philippe
Librairie L' Etoile du Mage
10 rue de Cassis - 13008 Marseille
Té l : 04 91 256 638

http://librairieletoiledumage.blogspot.com

mardi 16 octobre 2007

TRAITTEZ SUR LE PROCES DES TEMPLIERS


















Gentes Dames et Beaux Seigneurs,

Toute la presse en parle: les templiers avaient été blanchis. Un super tirage exposerait des pièces ... Prix moyen de l'ouvrage 5900 euros sachant que l'on en trouve déjà sur le marché parallèle à 700 euros .

Ce livre est une arnaque ! Un coup de pub pour faire du fric !

Un ouvrage avait été publié dès 1654 avec recopie des documents du procès d'origine.
Cet ouvrage fut reproduit en 1975 par Laurent Dailliez et André PAssebecq.

Pour des raisons complexes, ce livre fut "bloqué" et est demeuré secret et secrètement gardé jusqu'à ces derniers jours où ce "trésor" fut libéré il y a quelques jours ... pour faire "contre-feu" (*)

Ce qui est surprenant c'est que certains des documents ayant servi à ce fac-similé et autrefois détenus à la BNF auraient été "échangés" avec d'autres pièces - sans rapport - en provenance du même Vatican ...

Tout cela pour ne rien apprendre de bien neuf .

Les marchands du Temple ne sont pas morts !
Heureusement les "vrais veillent" .

Baise-Main aux Dames et Franche collée Beaux Seigneurs
Fraternelles cordialités
Geoffray le spécialiste " des Templiers "


(*) La vente du lot de ces ouvrages a été confiée à notre ami Jean-Christophe FAURE, Librairie Le Grand Chêne http://www.le-grand-chene.com. Si vous souhaitez cet ouvrage qui est une sorte de placement (pièce de collection en fvieux françois et latin médiéval - très difficile à déchiffrer) Belle idée de cadeau aussi... Quantité limitée...OYEZ OYEZ !

A l'occasion du 700ème anniversaire de la grande arrestation, vous pouvez vous procurer un ouvrage de collection exceptionnel :

TRAITTEZ SUR LE PROCES DES TEMPLIERS
Fac-Similé de documents officiels d'après un ouvrage publié en 1654 !
Impression bistre sur papier parcheminé
Vieux français (lisible) et latin.

Ouvrage de la collection Laurent DAILLIEZ
Impression de 1975 - non diffusé

Magnifique ouvrage quantité très limitée...
une pièce pour collectionneurs !

Prix négocié pour vous : 40 euros port inclus


arprès de mon ami Jean-Christophe Faure de :

La Librairie du Grand Chêne

Livres et Documents des Mondes
Inconnus, Anciens et d' Ailleurs...


Adresse pour le règlement :
Jean-Christophe FAURE
5 Passage des Papes Limousins
19000 TULLE

TEL 08 77 12 72 30

jechrif@club-internet.fr


www.le-grand-chene.com

Ci-dessus Elément de la couverture:

lundi 15 octobre 2007

Bulletin de la Société Martinès De Pasqually





Introduction :

La Société Martinès de Pasqually a été fondée en 1989. Elle a son siège à Bordeaux où Martinès de Pasqually a vécu dix ans et où il a donné forme à son ordre, l’Ordre des Chevaliers Maçons Elus Coëns de l’Univers.

Cette association a pour but d’être un lieu d’échanges pour une connaissance plus approfondie de la vie, de l’œuvre et du rayonnement de Martinès de Pasqually (article 2 des statuts). Elle a pour objet de faire travailler ensemble ceux qui tentent de reconstituer les événements de sa vie, spécialement à Bordeaux et à Saint-Domingue et ceux qui étudient les sources, les origines et les manifestations de sa pensée prise dans le contexte de son époque.

Les membres fondateurs se sont engagés à travailler selon des normes scientifiques et universitaires en recherchant la plus grande objectivité possible. Depuis 1989, ce projet de recherches, essentiellement historiques, a été maintenu et poursuivi par les nouveaux adhérents et chercheurs.

La Société Martinès de Pasqually édite un bulletin annuel, réservé à ses adhérents. La cotisation est actuellement de 20 euros par an.

Comme toute association régie par la loi de 1901, la Société Martinès de Pasqually est administrée par un conseil d’administration qui propose des réunions régulières d’échanges et de travail à tous les adhérents et qui convoque l’assemblée générale annuelle.

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Propos de la Présidente :

J’ai été amenée à écrire à un nouvel adhérent qui, ne situant pas bien les buts de la Société, pensait que nous étions un mouvement d’élus coëns.
Je voudrais bien faire comprendre ce qu’est la société Martinès de Pasqually. C’est une société de recherches historiques. Sa qualité et son originalité viennent des chercheurs qui la composent. Parmi eux, nombreux sont ceux qui se sont intéressés à Martinès par l’intermédiaire de la franc-maçonnerie, du rosicrucianisme, du martinisme, d’un ordre d’élus coëns, d’un mouvement théurgique, etc…
Martinès à joué un rôle dans tous ces mouvements ce qui montre son importance. Nous respectons la quête de chacun quelque soit l’ordre ou l’obédience auquel il appartient. Ceci pour bien clarifier notre position et notre indépendance.
Notre unité vient à la fois du sujet choisi, Martinès de Pasqually, son œuvre, son influence, et du plaisir partagé de la recherche. Mais au-delà, elle permet aussi des échanges fructueux et amicaux entre des personnes venant de mouvements très différents ou sans aucune appartenance qui n’auraient peut-être pas eu l’occasion de se rencontrer et d’envisager une activité commune.
Notre but est le retour aux sources et il est loin d’être inutile comme vous le verrez, par exemple, à travers la contribution de Jean-Claude Drouin à ce bulletin (N° 15/2005). Il a recopié des données venant d’ouvrages ou de dictionnaires dignes de foi. Que d’erreurs étaient véhiculées et reprises sans vérifications !
Les temps changent, tant mieux. A notre mesure, nous espérons participer à toutes ces rectifications et, dans un souci de rigueur, nous n’hésitons pas à souligner les obscurités qui subsistent

Michelle Nahon

SOCIETE MARTINES DE PASQUALLY
Siège : Librairie AU VIEUX GRIMOIRE
46 rue des Bahutiers, 33000 BORDEAUX

m.nahon@wanadoo.fr


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Bulletin de la Société Martinès De Pasqually :

Sommaire des revues parues à ce jour

N° 1, année 1990, 17 pages : Introduction. Compte-rendu de la réunion constitutive de la Société Martinès de Pasqually à Bordeaux le 10 mai 1989. Statuts de la société. Compte-rendu de la deuxième réunion des membres le 27 septembre 1989, du 26 avril 1990. Documents, Résumé des recherches sur Martinès de Pasqually à Bordeaux par Michelle Nahon et Maurice Friot. Correspondance. Ouvrages reçus.

N° 2, année 1991, 29 pages : Avant-propos. L’arrivée de Martinès de Pasqually à l’Orient de Bordeaux (1762) par Johel Coutura. Martinès de Pasqually à Bordeaux, année 1762 par Michelle Nahon et Maurice Friot. Quelques précisions sur le départ de Martinès de Pasqually pour Saint-Domingue le 30 avril 1772 par Johel Coutura. Martinèzisme ou Martinisme. Documents par Jean-Claude Drouin. Ouvrages reçus et notes de lecture. Livres annoncés non reçus. Correspondance. Vie de la Société.

N° 3, année 1992, 27 pages : Avant-propos. Traité de la réintégration des êtres. Notes de lecture par Jean-Pierre Donzac. La personnalité et l’œuvre de Martinès de Pasqually dans la récente historiographie italienne par Marco Novarino. Martinès de Pasqually et la Grande Loge de France. Martinès de Pasqually à Bordeaux, année 1763, par Michelle Nahon et Maurice Friot. Ouvrages reçus et notes de lecture par Jean Claude Drouin. Notes d’information, le CIREM, par Gilles Filiol, Correspondance, Vie de la Société, Bibliothèque, Table des matières.

N° 4, année 1993, 35 pages : Avant-propos. La personnalité et l’œuvre de Martinès de Pasqually dans la récente historiographie italienne (suite) par Marco Novarino. Martinès de Pasqually à Bordeaux, année 1764, par Michelle Nahon et Maurice Friot. Correspondance de Martines de Pasqually conservée à la Bibliothèque Municipale de Lyon (Ms 5471) par Johel Coutura. Vie de la Société, par Laurent Quintin.

N° 5, année 1994, 17 pages : Lettre aux membres de la Société, du 30 juin 1995 par Michel Casting et Michelle Nahon. L’entourage bordelais de Martinès de Pasqually, extraits d’un ouvrage de Johel Coutura. Martinès de Pasqually à Bordeaux, année 1765, par Michelle Nahon et Maurice Friot. Ouvrages reçus et notes de lecture par Jean-Claude Drouin. Correspondance des membres. Vie de la Société : Comptes-rendus du 6 décembre 1993, du 6 juillet 1994, du 6 juillet 1995. Compte-rendu d’une conférence sur Martinès de Pasqually le 4 avril 1995.

N° 6, année 1995, 28 pages : Avant-propos du Président Jean-Claude Drouin. Martinès de Pasqually à Bordeaux, année 1766, par Michelle Nahon et Maurice Friot. L’héritage haïtien de Martinès de Pasqually, par Jacques de Cauna. Martines de Pasqually militaire, par Christian Marcenne. Vie de la Société, Compte rendu des réunions du 19 janvier, du 20 mai et du 2 juillet 1996. Le mot du Président Jean-Claude Drouin, suite au Conseil d’administration du 19 janvier 1996.

N° 7, année 1997, 30 pages : Rapport Moral par Jean-Claude Drouin. Avant-propos de la Présidente, par Michelle Nahon. Martinès de Pasqually à Bordeaux, année 1772, par Michelle Nahon et Maurice Friot. Le Traité de la Réintégration des êtres, une analyse de contenu, par Stéphane Trebucq. L’héritage haïtien de Martines de Pasqually, suite, complément généalogique par Jacques de Cauna. La belle famille de Martinès de Pasqually, les Collas de Gornac par Michelle Nahon et Maurice Friot. VARIA : les cohen ont leur A.D.N. par Michelle Nahon.

N° 8, année 1998, 44 pages : Avant-propos de la Présidente, Michelle Nahon. Les fils de Martinès de Pasqually et de Marguerite Angélique Collas de Saint-Michel, par Michelle Nahon et Maurice Friot. Notes biographiques sur Angélique Collas, veuve de Martinès de Pasqually, et sur Jean d’Olabaratz par O.J. Clément. Notes de lecture, par Jean-Claude Drouin et Michelle Nahon. Courrier des lecteurs. Compte rendu des réunions du 27 janvier et du 8 juin 1998. Documents relatifs à Martinès de Pasqually, conservés à Moscou par Jean Pierre Lassalle et Eric Stoll.

N° 9, année 1999, 41 pages : Avant-propos de la Présidente, Michelle Nahon. Les écritures magiques et le registre des 2400 noms par Gilles Le Pape. Notes du Comité de lecture. Du Paty du Clam, par Jean-Claude Drouin. Martinès de Pasqually à Bordeaux, année 1767, par Michelle Nahon et Maurice Friot. Notes de lecture, par Jean-Claude Drouin. Ouvrages reçus et notes de lecture, Courrier des lecteurs, par Michelle Nahon. Archives de Moscou.

N° 10, année 2000, 39 pages : Avant-propos de la Présidence, Michelle Nahon. Notes de lecture, par Jean-Claude Drouin. Les élus coëns, note du Comité de rédaction. Les élus coëns, émission de Michel Cazenave, avec Robert Amadou. Martinès de Pasqually à Bordeaux, année 1768, par Michelle Nahon et Maurice Friot. Archives de Moscou, Questions posées au F Power pour parvenir au 1° point de l’an (neau) lum (ineux). Notes sur le document Power par Jean-Pierre Lassalle. Notes de lecture par Michelle Nahon. Compte rendu d’un article au sujet de Martinès de Pasqually, de la revue italienne Panarion par Stéphane Trébuc.

N° 11, année 2001, 21 pages : Avant-propos de la Présidente Michelle Nahon. Martinès de Pasqually à Bordeaux, année 1769, par Michelle Nahon et Maurice Friot. Les loges citées par Martinès de Pasqually par Jean-Pierre Lassalle. Notes de recherches sur les Lescourt, par Jean-Claude Drouin. Notes de lecture par Laurent Quintin, Jacques Mlynarczyk et Michelle Nahon. Note du Bureau. Sommaire des Bulletins 1 à 10.

N° 12, année 2002, 52 pages : Avant-propos de la Présidente Michelle Nahon. Martinès de Pasqually à Bordeaux, année 1770, par Michelle Nahon et Maurice Friot. L’abbé Bullet à Bordeaux, par Christian Marcenne. Brèves de lecture, par Jean-Claude Drouin. Notes de lecture par Michelle Nahon. Traité de la réintégration, présentation, par le Comité de rédaction. Martinèz de Pasqually e la sua doctrina esotérica, par Venturo Rizzo, note de Jean-Pierre Lassalle. Couverture de la revue Ultra, n°5, Rome, 1909. Article de Venturo Rizzo. Traduction par Robert Gras.

N° 13, année 2003, 43 pages : Avant-propos de la Présidente, Michelle Nahon. Martinès de Pasqually à Bordeaux, année 1771, par Michelle Nahon et Maurice Friot. De Launceston à Bordeaux, par Jean-Pierre Lassalle. Philippe-Auguste de Sainte-Foix, chevalier d’Arc, oncle du roi à la mode de Bretagne, par Michelle Nahon et Maurice Friot. Martinèz de Pasqually e la sua doctrina esotérica, par Venturo Rizzo, 2° partie. Sommaire de la revue Ultra N°6, Rome, Décembre 1909. Article de Venturo Rizzo. Traduction par Robert Gras. Notes de lecture par Jean-Claude Drouin, Jacques Mlynarczky et Michelle Nahon.

N° 14, année 2004, 36 pages : Avant-propos de la Présidente, Michelle Nahon. Manuscrit de l’Ordre des Élus Coëns noté par un émule de Martinès de Pasqually, Pierre André de Grainville ou Manuscrit de Grainville (dit manuscrit d’Alger ou manuscrit R. Ambelain) par Georges Courts. Ils ont hanté les passerelles avec leurs gueules-de-raie, les frères de l’abbé Fournier par Christian Marcenne. Notes de lecture par Jean-Claude Drouin et Michelle Nahon. Documents.

N° 15, année 2005, 43 pages : Avant-propos de la Présidente, Michelle Nahon. Après le départ de Martinès de Pasqually de Bordeaux, 1772-1774 par Michelle Nahon et Maurice Friot. Les sources et l’évolution du Martinisme par Georges courts. Notes de lecture par Jean-Claude Drouin et Michelle Nahon. Documents recueillis par Jean-Claude Drouin. Reproduction des notices de Sédir, transmises par Jean-Pierre Lassalle.

N° 16, année 2006, 43 pages plus un hors-texte en couleurs. Avant-propos de la Présidente, Michelle Nahon. Après le départ de Martinès de Pasqually de Bordeaux, 1774-1779 par Michelle Nahon et Maurice Friot. Notes de lecture, par Michelle Nahon. Informations. Courrier des lecteurs. Un mystérieux document par Michelle Nahon avec la collaboration de Georges Courts et de Gilbert Tappa.

Sté Martinès de Pasqually un site en cours de construction avec hébergement provisoire chez Xavier Cuvelier-Roy :

http://www.cuvelier-roy.com
Sommaire des revues à la rubrique lettre du lundi:

17.09.2007 : Du nouveau à la Sté. Martinès de Pasqually

2/ Calendrier d' Octobre "Fêtes Païennes et Fêtes Chrétiennes"





LA LITURGIE UNIVERSELLE

Depuis que l'homme est homme, il n'a cessé de chanter son mariage mystique avec l'univers par la définition de temps et de lieux sacrés.

Cet ouvrage est une vaste récapitulation des temps liturgiques - des fêtes - dans lesquels toutes les civilisations, toutes les religions, se sont immergées afin de trouver un «sens» au «temps qui passe».

Se situant en amont desdites religions, l'auteur tente ici de restituer les rythmes spirituels fondamentaux qui ont de tout temps permis la grande analogie entre l'Homme et l'Univers, tant en nature qu'en évolution.

Livre fêtant gaillardement l'immanence de la divinité - ou des divinités - en toutes choses, il peut être aussi utilisé comme un dictionnaire, un guide pratique, pour toute personne entendant retrouver ces rythmes sacrés au sein de notre modernité.


FÊTE D'OPET (début octobre)

Cette fête égyptienne commençait début octobre et durait 24 jours, parfois 27.

Le dieu Amon quittait le temple de Karnak pour rendre visite à son harem (opet) de Louxor.

Elle se célébrait au moment où le Nil se retirait après avoir déposé le limon apporté par la crue pour fertiliser les terres.

C'était une double fête de fécondités : celle des dieux et celle de la terre.

Partant de Karnak, trois barques portées par les prêtres contenaient les statues du dieu Amon, celle de son épouse Mout et celle de leur fils, le dieu Khousou. Le Pharaon accompagnait la procession.

Elles arrivaient au bord du Nil où elles étaient chargées sur des bateaux. La flottille remontant le fleuve jusqu'à Louxor. À l'arrivée, les barques de la triade étaient conduites dans leur sanctuaire du temple.

Là, le couple divin Amon et Mout, allait pendant onze jours célébrer leurs épousailles mystiques pour entretenir la vie et la force divine, perpétuer et renouveler la création, et par répercussion, assurer la fertilité et la fécondité de l'Égypte, hommes, animaux et champs.

La fête achevée, la triade rejoignait Karnak jusqu'à la prochaine célébration.

Pendant toute la durée de la fête, les Égyptiens à l'extérieur du temple fêtaient à leur façon les rites auxquels ils ne pouvaient assister par des banquets accompagnés de musiques et de danses.

Actuellement, il y a à l'intérieur du temple de Louxor une mosquée consacrée à un saint musulman, Abou-el-Hagag. Pour sa fête, une barque est promenée en procession comme autrefois l'était la barque des dieux en Égypte ancienne.

FÊTE DE MITHRA (2 octobre)

Ces fêtes se célébraient le 16e jour du mois de Mihr qui correspond au 2 octobre.

C'était la célébration populaire la plus importante. On pensait que, ce jour-là, le soleil était apparu pour la première fois.


Dans les Avestas, toutes les prières (Yasht), ou invocations, dites à cette occasion commençaient par «Mithra, maître des vertes campagnes...»


Dès le IV° siècle av. J.-C., Mithra était considéré comme un «sauveur». À l'occasion de ces fêtes, le roi exécutait des danses sacrées et se livrait à des excès de boisson en l'honneur de la divinité.

Ces fêtes sont distinctes des Mystères de Mithra

15 OCTOBRE

Ce jour-là, on faisait à Rome, sur le Champ de Mars, une course de chars. En offrande au dieu Mars, on tuait d'un coup de lance le cheval de droite de l'attelage vainqueur. On tranchait sa tête que l'on ornait de pains préparés pour la circonstance et elle était placée sur un mur de la maison du roi ou sur la tour Mamilia.

La queue du cheval était portée à la maison du roi en grandes pompes et en prenant soin que du sang coule sur le foyer de la maison.

Le fait de demander une bonne moisson au moment du sacrifice indique que le cheval devait incarner l'esprit du blé.

31 OCTOBRE

En Irlande, les Celtes allumaient un feu nouveau le 31 octobre, veille de la Toussaint. Il servait à allumer tous les autres feux qui avaient été éteints la veille et à brûler les holocaustes offerts aux dieux par les druides.

DASSERA


On pratiquait cette fête au Népal au début octobre, à la fin de la saison des pluies. Elle durait dix jours pendant lesquels tout le monde était en vacances. Tous les tribunaux étaient fermés. Les prisonniers étaient conduits hors de la ville pour que les chaînes qui les entravaient ne gênent pas l'action bénéfique des dieux. Katmandou était purifiée par des prières. Les maîtres faisaient des présents importants aux employés qui leur avaient donné satisfaction. Le septième jour, au crépuscule, l'armée tirait des salves de fusils et d'artillerie pour chasser les démons. On ne pouvait récolter le riz qu'après ces dix jours de fête.

PRAEROSIA

Ces cérémonies honoraient Déméter à Éleusis. La déesse prenait à cette occasion le nom de Praerosia qui signifie «avant les labours». C'était une fête des prémices.

La légende raconte que le monde entier étant ravagé par une famine, la Pythonisse avait conseillé de procéder aux rites de Praerosia. Dès que ce fut fait, la famine cessa.

Depuis ce jour-là, les Athéniens recevaient de tout l'Empire les prémices des récoltes.

Le rite principal consistait en un labour sacré symbolique exécuté par le grand prêtre avant que les paysans ne déclenchent leurs activités.

C'est Triptolème qui, instruit par Déméter, apprit aux humains à atteler les boeufs à la charrue. La déesse lui communiqua aussi les Mystères d'Éleusis.

Ce labour symbolique était pratiqué en Turquie, près d'Andrinople, comme en Thrace.

THESMOPHORIES

D'après la légende, Triptolème aurait institué cette fête grecque en l'honneur de Déméter.

Déméter, déesse du blé, était fille de Chronos et de Rhéa. Un jour que sa fille Perséphone allait cueillir un narcisse dans un champ, la terre s'ouvrit et le dieu Hadès l'enleva aux Enfers. Déméter, désespérée, quitta l'Olympe, séjour des dieux, pour errer sur terre pendant neuf jours et neuf nuits. Enfin Hélios eut pitié d'elle et lui donna le nom du ravisseur. Mais Déméter refusa de rejoindre l'Olympe tant que sa fille ne lui serait pas rendue. Elle s'enfuit alors à Éleusis chez le roi Céléos. Elle enseigna au fils du souverain, Triptolème, les techniques du labour, des semailles et des récoltes. Mais en l'absence de la déesse qui veillait sur la germination, la terre devint stérile. Sur l'intervention de Zeus, Hadès refusant de rendre Perséphone, il fut décidé que cette dernière resterait six mois de l'année avec sa mère Déméter et les six autres mois avec son ravisseur aux Enfers. Le premier semestre correspondait à la pousse de la végétation, le second semestre à la période où les graines sont enfouies dans la terre, comme Perséphone aux enfers.


Les Thesmophories étaient célébrées par les femmes. À cette occasion, ces dernières jetaient dans une caverne consacrée à la déesse des pommes de pin, des porcs et des représentations du sexe féminin. Ensuite, elles observaient un jeûne rigoureux en restant assises par terre. Quelque temps après la fête, elles descendaient dans la caverne pour en rapporter des morceaux de porc qui étaient mélangés aux semailles pour fertiliser les champs. Ces rites avaient aussi pour but de donner la fécondité aux femmes.

À ces rites, se joignit une cérémonie d'initiation féminine aux Mystères d'Éleusis.

On sait peu de choses sur ces initiations. Seulement que les futures initiées couchaient sous une tente, à l'écart, après avoir abandonné leur argent.


Elles dormaient sur un lit de feuillage vert avec une branche de pin sous leur couche. Pendant la durée des cérémonies, certains aliments étaient interdits.


Pour symboliser la recherche de Perséphone par Déméter, les initiées faisaient une quête symbolique avec des torches allumées.


Les Thesmophories étaient interdites aux esclaves et aux femmes de mauvaise vie. On avait l'habitude de libérer un prisonnier à l'issue de la fête.

NOUVELLE LUNE D'OCTOBRE

À cette occasion, les Todas des monts Nilghéris, en Inde, célèbrent une fête du feu. Ils éteignent tous les feux et par frottement de deux morceaux de bois obtiennent le feu nouveau à qui ils demandent l'abondance d'herbe, de miel et de fruits.

Aux îles Fidji, la nouvelle lune d'octobre était l'occasion de l'initiation des jeunes gens à la pratique des rites ancestraux.

On rasait la tête des nouveaux promus et l'on épilait leur barbe. Pendant les quatre jours de retraite qu'ils passaient hors du temple, ils offraient aux esprits des ancêtres des armes et des tissus. Le jour suivant, on les ramenait au temple où ils pouvaient voir, allongés sur le sol, un certain nombre d'individus paraissant morts, couverts de sang, les entrailles semblant sortir du ventre. À l'autre bout de la salle, le grand Prêtre, assis, attendait que les futurs initiés aient rampé sur tous ces corps et se soient alignés devant lui. Il poussait alors un grand cri et les faux cadavres se précipitaient vers la rivière où ils allaient se purifier et se laver du sang et des entrailles de porc qui les avaient souillés.

Les hommes revenaient de ce bain, propres, couverts de guirlandes de fleurs en chantant un air grave et imposant.

Quatre anciens parmi les plus hauts initiés leur distribuaient le repas sacré.

Le premier offrait une igname cuite, le second un morceau de porc rôti, le troisième une coupe d'eau. Chacun mettait dans la bouche des initiés un morceau des présents qu'il avait apporté. Le quatrième vieillard passait ensuite, essuyant leurs lèvres avec un linge propre. On les informait alors des dangers qu'ils couraient s'ils dévoilaient à un profane les rites secrets qui se déroulaient ensuite.

Il faut ajouter que les habitants ne pouvaient consommer les ignames nouvelles que lorsque les cérémonies étaient achevées.

Au Népal
, au mois d'octobre, on pratiquait le rite d'adoration de la grenouille. Le prêtre, après une purification, faisait offrande de cinq produits différents dont de l'encens en fumigation, au bord d'un étang habité par des grenouilles. En même temps, il demandait à la déesse grenouille d'envoyer la pluie et de protéger les moissons

samedi 13 octobre 2007

Tendons l' Oreille : petit enregistrement audio de grande qualité, un texte extrait de Mon Livre Vert de Louis-Claude de Saint-Martin ( 1743-1803 )
















En ce mois d'octobre 2007, nous fêtons le 204e anniversaire de la mort de Louis-Claude de Saint-Martin (14 octobre 1803). Pour cette occasion, nous vous offrons d'écouter un texte extrait du Livre vert, dans lequel le Philosophe inconnu parle de la vie spirituelle.

L.-C. de Saint-Martin, Mon livre vert, n 852
Paris, Cariscript, Documents martinistes n 28 , 1991

http://philosophe-inconnu.com

lundi 8 octobre 2007

De Cordes-sur-Ciel vers la Commanderie Templière de Vaour - 1307-2007 : NON NOBIS NOMINE-NON NOBIS SED DOMINI TUO DA GLORIAM

















Introduction

Le 13 octobre 2007 est la date du 700ème anniversaire de la fin de l’ordre du Temple. Comme vous allez pouvoir le découvrir dans la présentation historique du projet, ce fut une organisation religieuse et militaire qui marqua son temps et qui contribua à une meilleure connaissance du « monde nouveau » : l’Orient.

Cette page de notre histoire est bien présente dans le département du Tarn et notamment à la Commanderie de Vaour, à quelques distances de la superbe cité médiévale de Cordes-sur-Ciel.

Le Templier était un personnage complexe car porteur d’une « mission divine », partagé entre son passé de noble érudit et son engagement militaire au service d’une guerre souvent violente et sanglante. Il devint malgré lui un aventurier, adepte du voyage, en traversant toute l’Europe et une partie du Moyen-Orient.

Comment commémorer un tel événement sans tomber dans la reconstitution historique trop souvent hasardeuse et en évitant les caricatures trop évidentes ?

Nous allons vous présenter ce projet construit en partenariat avec Jean-Luc Alias, rédacteur en chef de la revue « Templarium » et avec le soutien de Marie-Line Gautier, présidente de l’association « Sur les Chemins de l’Histoire » (0683170635).

Directeur artistique des « Fêtes Médiévales du Grand Fauconnier » à Cordes sur Ciel (81), de 2003 à 2005, organisateur des journées du patrimoine de la ville de St Marcellin (38), de 2004 à 2007, administrateur de production aujourd’hui à Grenoble, j’ai depuis plus de 15 ans toujours travaillé sur des projets liant l’art, le patrimoine et l’histoire. Mon travail s’articule autour de la construction d’un projet artistique qui met le public au centre d’un dispositif l’incitant à la découverte, l’érudition et au partage.

L’ensemble de l’équipe et les partenaires sont heureux de pouvoir proposer ce nouveau projet dans le Tarn et nous souhaitons vous faire partager, l’espace d’une journée, une page marquante de notre histoire en mettant en avant le patrimoine de Vaour et celui de Cordes sur Ciel.

Karl Ouchet

http://procesdestempliers.org/index.htm

Merci à mon ami Geoffray de m' avoir signalé cette manifestation.

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Je pense qu'une visite sur le site :

http://socio-anthropologie.revues.org/

peut vous aider dans vos recherches et réflexions.

Voici la note de haut de page:

Socio-Anthropologie aborde les déstructurations et les recompositions qui sont au cœur de ce tournant de millénaire. La « socio-anthropologie », démarche originale à la croisée interdisciplinaire, s'inscrit dans les débats actuels. Les perspectives et les résultats qu'elle propose permettent de mieux saisir le contemporain dans ses continuités et ses mutations. Chaque numéro est construit autour de trois éléments : textes classiques, réflexions méthodologiques et études sur des pratiques et des représentations contemporaines.

Il y a sur le site une mine de textes dont certains en totalité qui sont du plus grand intérêt.

Là aussi, merci à mon ami Geoffray de m' avoir signalé ce site.

samedi 6 octobre 2007

PASSIFLORE " CLOUS DU CHRIST "














Pour agrandir la photo Cliquer dessus.

Passiflore

Fleur de la passion ou encore Grenadille plus communément appelée "la fleur des clous du Christ".

12 genres, 210 espèces, origine Amérique du Sud et les Indes Occidentales;

Celle présentée au bout de mes doigts vient de la "Vallée des Peintres" à Carolle dans la Manche.

Le genre qui renferme le plus grand nombre d' espèces est le genre " Passiflore ", ainsi appelé parce que les Espagnols qui découvrirent l' Amérique méridionale crurent reconnaître, dans les fleurs singulières qu' il porte la figure des divers instruments de la passion de Jésus-Christ : la couronne d' épines est représentée par les filaments pointus de la corolle, les clous et le marteau par les anthères et les stigmates élargis, les cordes par les vrilles de la tige.


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La Vallée des Peintres
Les artistes peintres et sculpteurs , la vallée des Peintres. Concurremment avec l'afflux des baigneurs, Carolles a bénéficié depuis 1860 de l'attrait exercé sur ses sites pittoresques sur les artistes, peintres et sculpteurs. Nombre d'entre eux y ont fait des séjours prolongés et même y ont établi résidence.
Leurs œuvres ont largement contribué à faire connaître et apprécié cette région de l'avranchain. Citons le sculpteur Jules Blanchard, les peintres Edmond De Bon, Emile Dasdoize et son gendre Ernest Simon, dont le fils, Jacques Simon avait son atelier à la Bellengerie, Constantin Leroux, Baudaux, Pierre Berthelier, Albert Depré, René Durel, les sculpteurs Etienne Leroux et Henri de Laspre et l'architecte Victor Petitgrand.

La vallée des peintres arrosée par le ruisseau du Crapeux, qui forment la limite de la commune se nommait Vallon Bouvet, au 18e siècle et Ravin de la trésorerie au 19e siècle.

Avant 1840 c'était la vallée la plus sauvage et la plus nue de la contrée. En 1840 on y ouvrit une carrière. C'est à cette époque que les arbres y furent plantés par MM Ducoudray. Les habitants ont donnés le nom de la Vallée de Peintres. Vers 1900, époque où ils voyaient souvent des ombrelles blanches abritant des chevalets.

http://www.paroa.fr/carolles/valleepeintres.htm

Chansons et Chansonniers Maçonniques


















La gravure ci-contre, dont un détail figure à notre page d'accueil, constitue la couverture du programme du Concert blanc donné le 22 avril 1978 à l'occasion des Journées Maçonniques Internationales organisées par Les Amis Philanthropes n°2 à l'Orient de Bruxelles.

L'original fait partie de la collection du Grand Orient des Pays-Bas à La Haye.

On y voit, autour du Vénérable (au centre, avec un couvre-chef), une assemblée de maçons qui semblent chanter en choeur, autour d'une table des Banquets richement garnie - et donc certainement hors du Temple, comme le confirme l'absence de décors dans la pièce. Les Surveillants sont placés chacun à une extrémité de la table en U.

A l'avant-plan, on voit que les musiciens ont abandonné leurs instruments (tous à cordes - cinq sont visibles). Sont-ce des profanes engagés pour assurer la musique de table et exclus de ce moment rituélique? Ou sont-ce plutôt des Frères à talents membres de l'Atelier, qui se sont momentanément joints à l'ensemble chantant a capella? Cette hypothèse est-elle confirmée par le fait que l'un d'eux a déposé son violon sur le siège d'un Surveillant - à moins que celui-ci soit lui-même l'instrumentiste?

Chansons et
Chansonniers Maçonniques


Liens intéressants :

http://musicmac.ifrance.com/musicmac


débuts de la Franc-maçonnerie spéculative

milieu et fin XVIIIe

la transition XVIIIe-XIXe

vendredi 5 octobre 2007

L' ETOILE DU MAGE - SCOOP : conférence de Serge Caillet filmée par TV Baglis.


















Accès direct au blog " L' Etoile du Mage " cliquer sur le titre.

Bonjour les amis,

- Retrouvons-nous, non pas dans un café -;) mais dans une Librairie pour des Causeries et Rencontres :

- Pour la Rencontre avec Serge Caillet le Samedi 27 octobre 2007, nous sommes complets, mais cette conférence sera filmée par Baglis, des infos seront mis sur le Blog.

- Nous vous annonçons qu'à l' occasion des "20 ans de LOGOS", une soirée est prévue le Vendredi 9 novembre à partir de 18h30 avec Dominique Bertrand, auteur de "La Préhre du Serpent : La voix dans la bible", en collaboration avec les Editions Signatura.
Attention les places sont limitées, pensez à réserver.

- La R.L.- Men Nefer (G.L.M.M.M.) vous invite à une conférence publique - le Samedi 10 Novembre -19h30 avec Dominique Bertrand - " La voix et sa vibration dans le Temple" - Contact : Ariane 06 21 31 67 06.

- Nous vous confirmons la venue de Roger Dachez le Vendredi 7 et le Samedi 8
décembre ` Marseille, des informations vous parviendront par la suite.

- Jean-Michel Mathonihre sera à Marseille le Vendredi 19 octobre 2007 pour une conférence publique :
"Maçonnerie et Compagnonnages - Mythes et Réalités".
Pour + infos : tel : Simon - 06 74 18 44 70 - ou Girard - 06 59 15 96 63

- Nous vous confirmons la venue d' Irhne Mainguy ` Marseille
pour le Vendredi 23 et le Samedi 24 novembre 2007
ainsi que la sortie de son excellent ouvrage :
"Symbolique des outils et glorification du métier".
- 22 - 284 pages + cahier photos couleurs Hors Texte.

- L' ouvrage de Jean-Marc Vivenza, "René Guénon et le Rite Ecossais Rectifié" - (136 pages - 15), et celui de René Lachaud "Les Dieux Masqués -"Chamanisme dans l'Egypte pharaonique" (224p - 29) sont disponibles.

- Attention cette année le Colloque de Politica Hermetica ( E.P.H.E Sorbonne)
se tiendra le 2ème samedi du mois de décembre donc le 8.

- Nous vous rappelons la réédition de l' ouvrage d' Henri Corbin
"Temple et contemplation".

- Il y a 700 ans :
"Au matin du vendredi 13 octobre 1307, les Templiers du royaume de France sont
arrêtés sur ordre du roi Philippe le Bel. Mais pas dans les états indépendant du Royaume de Provence que seront arrêtés qu' en janvier 1308 (48 chevaliers au total).

- Pour plus d' informations :

Laurence GILLI et Philippe SUBRINI,
Libraires ` l' Enseigne L' Etoile du Mage
10, rue de Cassis,
13008 Marseille - Til : 04 91 256 638

mercredi 3 octobre 2007

LILLE & REIMS les 14 & 28/10/07 - Pièce de Théatre adaptée du roman de Xavier Cuvelier-Roy " SUBSUM CORDA "


















Au cas où des Martinistes de tous poils seraient intéressés voici 2 autres dates pour Sursum corda :

Sursum Corda, entretiens avec
le Philosophe Inconnu,
Louis-Claude de Saint-Martin


Théâtre

Adaptation de Sursum Corda, un roman de Xavier Cuvelier-Roy qui évoque la rencontre de deux initiés du XVIIIe siècle, Louis-Claude de Saint-Martin et Guillaume de Martignas.

La mise en scène transpose l'histoire à l'époque moderne pour nous faire découvrir le Philosophe inconnu. Dans la première, Saint-Martin présente son nouveau livre à ses amis. La seconde, nous fait vivre les derniers instants de la vie de Saint-Martin.

Spectacle de la section Théâtre et danse de l'Université Rose-Croix internationale organisé par l'Atelier O.M.T. Denys l'Aréopagyte d'Orléans.

http://www.rose-croix.org/activites/Text_conf/sursum_corda.html

14/10/2007
Heptade Léonard de Vinci
26, rue Jean Moulin
59000 - LILLE

28/10/2007
Heptade " Levé "
27 rue de Clairmaraies
51100 - REIMS

mardi 2 octobre 2007

MATEMIUS : ouverture de la dernière version du site



















Pour accéder directement au site cliquer sur l' image.

Bonjour à tous,

Je suis heureux de vous informer de l'ouverture de la dernière version du site.

J'y ai apporté de nombreuses améliorations afin de palier aux problèmes de spam.

Pour éviter que le site ne "meurt" comme ce fut le cas ces dernières années, je tiens à en alimenter régulièrement le contenu.
Pour commencer, la totalité des articles ont été revus et complétés, de même que l'encyclopédie de phytothérapie (qui devient l'encyclopédie de médecine hermétique) ; certains ouvrages, tels que "Hécate" de M. -F. Nouveau-Piobb, ont également été repris (ajout des pages manquantes 128 à 135).
Et de nouveaux articles sur P. -V. Piobb sont en cours de préparation.

Par ailleurs, étant donné l'ampleur de la communauté, je connais quelques problèmes avec Free pour l'envoi des mails. Donc si vous n'avez pas reçu votre nouveau mot de passe, je vous prie de bien vouloir me contacter par mail afin de remédier à ce problème.

Cordialement,
Matemius

lundi 1 octobre 2007

Nouveau : Les lettres du Lundi sur l' excellent site de Xavier-Cuvelier-Roy


















Pour accéder directement au site cliquer sur le titre

les lettres du lundi :

A l'actualité

Lettre du lundi 01.10.2007 : De la mort, de l'amitié et du souvenir.
Lettre du lundi 24.09.2007 : Éthique du roman historique
Lettre du lundi 17.09.2007 : Du nouveau à la Sté. Martinès de Pasqually