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*** ci-dessous "Livres-mystiques".: un hommage à Roland Soyer décédé le 01 Juin 2011

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jeudi 31 décembre 2015

Chez l'imprimeur : De la THÉURGIE ou la Pratique Hermétique. Traité d’Alchimie Spirituelle, de E.J. Langford Garstin, préface de Denis Labouré. 220 pages, couverture couleur. 20,00 €.
Sortie prévue début Janvier 2016.
À l'heure ou les livres sur la Magie foisonnent, peu d'entre eux offrent un réel aperçu de ce qu'est réellement sa branche la plus noble et la plus spirituelle, “la Théurgie”. Cette pratique, bien au-delà de la simple “Magie Naturelle”, bien qu'étant directement liée à elle, est aujourd'hui trop souvent ignorée, parfois même détournée de son sens initial. Sans Théurgie, pas de Haute-Magie, car cette dernière amène l'Homme à ce qu'il a de plus sacré, sa propre Âme Divine. Et sans ce contact, nul ne peut prétendre obtenir des résultats concrets sur les plans supérieurs & avant tout, sur sa propre personne.
Edward John Langford Garstin illustre parfaitement cette définition de la Magie :
“Dans les esprits de nombreuses personnes, la Magie est associée aux Grimoires et à de la littérature de cette espèce ; avec la Nécromancie et autres Arts déplaisants, comme la fabrication de figurines de cire pour y planter des épingles, etc. Au contraire, les Théurgistes ont affirmé que c’est la Sagesse et la Philosophie de la Nature, ainsi qu’une connaissance parfaite des œuvres de Dieu et de leurs effets. Un Mage, c’est dès lors un Contemplateur des choses Célestes et Divines ; un Philosophe et un Prêtre…”
Beaucoup de gens se heurtent à la complexité des textes anciens, et ils ne savent pas par où commencer leurs études… Ce livre leurs permettra d'avoir une vision juste de ce qu'est l'Initiation à la Théurgie, ses voies et ses sources, à travers la Tradition Occidentale, de l'Hermétisme, des Néoplatoniciens, en passant par la Kabbale, l'Alchimie et la Symbolique.
L'Auteur : E.J. Langdord-Garstin (1893-1955) fut un occultiste reconnu de la première moitié du XXe siècle. Il participa à différentes aventures liées à la Spiritualité en Grande-Bretagne. Il fut le secrétaire de la Quest Society, dirigée par George Robert Stow Mead & Arthur Edward Waite. Sa spécialité demeura l'Hermétisme sous toutes ses formes. Il fut aussi un des dirigeants, entre les deux guerres, d'une des Branches de l'Ordre Hermétique de la Golden Dawn (l’Ordre Rosicrucien de l’Alpha et Omega) de Londres, sous le nom mystique de Frater Animo et Fide. Il créa sa propre maison d’éditions, Search Publishing Company.
http://www.sesheta-publications.com/

mercredi 30 décembre 2015

NEWS.: ARBRE D'OR EBOOKS

TOUTES LES COLLECTIONS

Le nouveau site est ligne!

C'est toujours à la même adresse www.arbredor.com que vous pouvez désormais admirer le nouveau look et profiter des titres gratuitement.

Le Vintrasisme par des Esseintes

Nous désirons exposer ici une Gnose qui dévoile certains mystères du Kosmos supérieur et jette des vues toutes nouvelles et très profondes sur l’économie et l’ésotérisme du Christianisme.
Cette Gnose, nous fut révélée par une personnalité extraordinaire : Pierre Michel Eugène Vintras. Sans naissance, sans fortune, sans éducation, dépourvu de tout ce qui paraissait indispensablement nécessaire à l’accomplissement d’une aussi grande œuvre, l’Esprit révélateur le cultiva lui-même, le façonna, le pétrit pour ainsi dire, l’éleva à toute la hauteur de sa grande mission, et de ce degré d’ignorance, le fit arriver à la perception, à l’intuition d’une immense Vérité.
Que l’on juge du changement profond opéré en lui par ces traits caractéristiques que nous empruntons à un auteur du temps :
suite sur http://www.esoblogs.net/12671/le-vintrasisme-par-des-esseintes/


    Eugène Vintras
    Pierre-Michel-Eugène Vintras, dit Pierre-Michel-Élie, né à Bayeux le 7 avril 1807 et mort à Lyon le 7 décembre 1875, est un ouvrier cartonnier de Tilly-sur-Seulles, qui se prétendait la réincarnation du prophète Élie. Wikipédia
    Naissance : 7 avril 1807 

mardi 29 décembre 2015

les-templiers-célébraient-ils-noël

Origine de l’Église « vieille-catholique » d’Utrecht.

Origine de l’Église « vieille-catholique » d’Utrecht.


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Mgr Dominique-Marie Varlet (1678-1742),
à l’origine de l’Église « vieille-catholique » d’Utrecht.

...C’est à ce but, que travailla par exemple Mgr Dominique-Marie Varlet (1678-1742), à l'origine du schisme d’avec l'Église catholique romaine qui aboutira à la création aux Pays-Bas de l’Eglise vieille catholique d’Utrecht. En effet Varlet, qui avait grandi à Paris, près du mont Valérien, là où se trouvait une communauté janséniste du nom de « Prêtres du Calvaire », après son doctorat en théologie à la Sorbonne et son ordination presbytérale en 1706, exerça son ministère dans les paroisses aux alentours de Paris, là où, précisément, il développa une vision novatrice de la liturgie eucharistique, notamment en s’unissant dans ses célébrations, chose extrêmement audacieuse pour l’époque, avec le pasteur réformé de la paroisse d’Asnières, proposant un « culte » dans lequel l’homélie et la prière intérieure prirent une place tout à fait significative. C’est ce qui lui vaudra les foudres de sa hiérarchie, le contraignant à se rapprocher du séminaire des Missions étrangères à Paris, décidant finalement, afin de poursuivre son œuvre toute consacrée au salut des âmes, de partir évangéliser les indiens d’Amérique. Ainsi, s’embarquant à la Rochelle, et après un passage aux Antilles, il arriva en Louisiane le 6 juin 1713, avec pour mandat ecclésial de « restaurer la mission des indiens Tamarôas ». Ce que fit alors Varlet, marqué par ses expériences liturgiques parisiennes, est proprement prodigieux, comme le rapporte sa correspondance, puisque de 1713 à 1718, il évangélisa la Nouvelle-France, des rives du Mississipi en remontant vers l’Illinois, longeant les grands lacs Huron et Erié, doublant les chutes du Niagara et suivant le Saint Laurent jusqu’au Québec, vivant avec les Tamarôas, apprenant la langue des tribus iroquoises et algonquines dont il partagea l’existence, allant jusqu’à s’adapter à leur mode de vie semi-nomade, habitant sous un tipi en forêt, et surtout, car c’est là le point qui importe pour notre sujet, célébrant des offices « en esprit et en vérité », sans aucun décorum d’aucune sorte, expliquant aux populations indigènes comment prier et s’adresser directement au Christ sans intermédiaire par l’exercice de la prière, leur disant, en insistant tout particulièrement sur ce point, que c’est ce en quoi consistent le véritable culte chrétien et l’authentique mystère sacré du christianisme, qui doivent rayonner à travers le cœur de l’homme. Il faut d’ailleurs savoir, à ce sujet, car on l’ignore le plus souvent, que la forme de cet apostolat fut possible, grâce à Monseigneur Jean-Baptiste La Croix de Chevrières de Saint-Vallier (1653-1727), évêque de l’Église de Québec, puisque La Croix de Saint-Vallier, né à Grenoble, ancien élève de la Faculté de Paris, avait baigné dans l’atmosphère des principes augustiniens dispensés par l’évêque de Grenoble, Mgr Le Camus (1632-1707), qui fut l’un des opposants les plus résolus à la bulleUnigenitus. C’est pourquoi, toutes les leçons acquises de l’expérience pastorale de Varlet à Paris, purent être mises en pratique au Canada, et c’est cette sensibilité, tournée vers le plus grand dépouillement et l’extrême simplicité allant jusqu’à la nudité même de l’esprit - objet constant de l’œuvre de Varlet en tant que sensibilité ayant pris naissance dès les premiers temps de son ministère -, qui obtint de si beaux fruits sur le plan spirituel, comme le rappelle son biographe :« Avec Jacques Jubé, le pasteur de la paroisse d’Asnières, Varlet a travaillé à un aggiornamento de la liturgie (…) Cette liturgie mérite qu’on s’y attarde tant elle innove pour l’époque. D’abord, on pourrait croire à l’influence de la Réforme : le prêtre entrait dans l’église par une procession qui mettait en lumière le livre de la Parole de Dieu et il ne montait à l’autel que pour l’offertoire. Toute la première partie de la messe se célébrait dans le choeur et attachait une grande importance à l’homélie qui devait consister en un approfondissement des Écritures. Ensuite, pour ce qui est de l’offertoire, on en donnait une interprétation qui se rapprochait de celle de la grande prière juive du « pater familias », la berakoth. » (Serge A. Thériault, Dominique-Marie Varlet, lettres du Canada et de la Louisiane (1713-1724), Contribution à l’étude de l’œuvre d’un ancien vicaire général du diocèse de Québec qui est à l’origine de l’Église vieille-catholique d’Utrecht, Presses de l’Université du Québec, 1985, pp. 20-21). Rajoutons, pour essayer d’être complet sur cette question, qu’on sait aussi que La Croix de Saint-Vallier avait été en rapports avec l’évêque d’Alet, Nicolas Pavillon, dont le nom fut également associé à la querelle janséniste. D’ailleurs, le premier rituel de Québec sera fortement inspiré de celui d’Alet qui contenait textuellement, de nombreuses propositions qui furent condamnées par l’Église, rituel, que l’opinion commune attribue à Arnauldet à Barcos, soutenant, selon le bref de Rome : « des doctrines et des propositions fausses, singulières, dangereuses et erronées dans la pratique, contraires à la coutume communément reçue dans l’Église.» (Bref Credita Nobis, 9 avril 1668).
*
La suite de l’histoire de Dominique-Marie Varlet est un peu plus connue. Rappeléen France par sa hiérarchie en 1718, dès son arrivée à Paris, ses supérieurs lui apprennent qu’il est nommé évêque coadjuteur de l’évêque de Babylone. Avant de se rendre en Perse, il est cependant consacré évêque le 19 février 1719 dans la chapelle des Missions étrangères, puis se met en route le 18 mars suivant. Sur son chemin, celui qui est désormais Mgr Varlet, s’arrête à Amsterdam où il rencontre une population dépourvue des sacrements, notamment celui de la confirmation, de par la vacance du siège épiscopal d’Utrecht en raison d’un conflit de l’Église locale avec Rome. Sensible au désarroi spirituel dont il est témoin, Varlet, comme toujours et selon son ardent amour des âmes, dans un souci de charité, procède à la célébration des confirmations dans la cathédrale. Il repart, et arrive, après un très long voyage, en Perse s’établissant à Shamaké. Pourtant, le 26 mars 1720, il est informé qu’à Rome, la Congrégation de la propagande  l’a suspendu de sa charge depuis le 7 mai 1719, en sanction de son geste charitable envers les fidèles de l’Église d’Utrecht, et également, de ce qu’il ait fait en sorte, de ne pas souscrire à la bulle Unigenitus avant son départ de Paris. Varlet revient à Amsterdam, tente de faire annuler sa suspense, se rend de nouveau à Paris, confirme cette fois-ci ouvertement aux autorités, qu’il refuse de signer la bulleUnigenitus,  et retourne à Amstermdam où le 15 octobre 1724, allant au bout de sa démarche, il  consacre en sa chapelle privée, Corneille Steenoven, l’archevêque qui avait été élu par le chapitre d’Utrecht, mais que Rome refusait. Le 22 février 1725, par le bref Qua sollicitudine, le pape Benoît XIII prononçait l’excommunication de Mgr Varlet et de tous ceux qui étaient impliqués dansl’élection et le sacre de l’archevêque d’Utrecht. Ce dernier décédant, le 3 avril, Mgr Varlet, à présent excommunié, et dont on voit en cela la détermination à conférer sa transmission épiscopale de sorte que se constitue une transmission d’Église selon ses vœux théologiques et pastoraux, consacrait un nouvel archevêque, Corneille Jean Barchman Wuytiers, le 30 septembre, en l’église Saint-Jacques et Saint-Augustin de La Haye. En 1733, Mgr Corneille Jean Barchman Wuytiers mourrait à son tour, amenant Mgr Varlet à consacrer en 1734, le 28 octobre, Thodore van der Croon, comme nouvel archevêque d’Utrecht, qui lui-même décédait cinq ans plus tard en 1739, faisant que Varlet, une fois encore, le 18 octobre de cette même année, consacrait Pierre Jean Meindaerts, qui finalement sera à l’origine de la succession apostolique de Varlet dite de l’Église « vieille-catholique » d’Utrecht. Dominique-Marie Varlet, quant à lui, rejoindra le Ciel le 14 mai 1742 à Rijnwijk, et fut  Inhumé dans le cloître de l’église Sainte-Marie d’Utrecht. Le « Testament spirituel de Mgr Dominique-Marie Varlet,évêque de Babylone », qui résumait les raisons de son action, fut publié dans le bulletin janséniste, les Nouvelles ecclésiastiques, à Paris, le 25 novembre 1742.
*
Nous ne saurions laisser le très attachant Dominique-Marie Varlet, sans citer un extrait d’une lettreanges,christianisme,culture,doctrine,élus coëns,ésotérisme,franc-maçonnerie,histoire,illuminisme,initiation,littérature,livres,martinésisme,martinisme,métaphysique,mystique,occultisme,pensée,philosophie,religion,spiritualité,théologie,théosophie,t inédite, que lui avait fait parvenir son évêque, du temps de son œuvre pastorale en Nouvelle-France. Voici ce que lui disait son pasteur : « Comptez beaucoup plus sur la force des prières que vous offrez à Dieu pour la conversion de ce peuple aveugle. Ainsi, vous ne sauriez trop travailler à les rendre purs et fervents par une grande union avec Dieu. (…) Ce n’est point par la force que vous vaincrez la jonglerie...[le paganisme], mais par la patience, par l’oraison et par de persévérantes exhortations. Vous gagnez leur coeur en sorte qu’ils vous aiment et estiment la prière. Le reste dépend de Dieu et viendra avec le temps. (…) Je bénis Dieu de s’être voulu servir de vous pour la conversion et la sanctification de tant d’âmes abandonnées. N’oubliez point, dans vos prières et saints sacrifices, un évêque qui vous honorera, non pas seulement jusqu’à la mort, et qui vous assure de tout le respect que vous méritez et avec lequel je suis, autant qu’on le peut être, votre très humble et très obéissant serviteur. »  (Jean, [La Croix de Saint-Vallier], évêque de Québec,le 20 juillet 1719).

source : http://jean-marcvivenza.hautetfort.com/

lundi 28 décembre 2015

L’alchimie dévoilée de Johannes Helmond, Fr. R.C., Sesheta-Publications.

Chroniques littéraires dans les domaines de l'initiation, des philosophies de l'éveil et des avant-gardes : Franc-maçonnerie, hermétisme, bouddhisme, shivaïsme, surréalisme, pensée contemporaine..

http://lettreducrocodile.over-blog.net/2015/12/l-alchimie-devoilee.html


L’Église et le sacerdoce selon Louis-Claude de Saint Martin avec Jean-Marc Vivenza, une interview de Jean Solis



Source Youtube.:
un extrait tiré du site http://www.baglis.tvd'un interview intitulé : 
L’Église et le sacerdoce selon Louis-Claude de Saint Martin avec Jean-Marc Vivenza, une interview de Jean Solis
Pour accéder à l'intégralité de la vidéo.:,http://www.baglis.tv

Le Traité sur la réintégration de Martines de P.




Source.: Youtube
AMORC.: Le Traité sur la réintégration des êtres est le maître livre de la tradition martiniste, c'est aussi l'un des textes majeurs de l'ésotérisme occidental. Cette vidéo est une introduction à l'étude du Traité dans lequel Martinès de Pasqually propose une lecture ésotérique de la Bible.

L'ange "bon compagnon" des élus coëns



Source.: Youtube un extrait tiré du site http://www.baglis.tv d'une table ronde intitulée "La pensée de Louis-Claude de Saint-Martin" réunissant Jean-Marc Vivenza, Dominque Clairembaut et Michel Cazenave

dimanche 27 décembre 2015

O.M.T. - Ordre Martiniste Traditionnel.











voici en ligne le lien permettant la lecture de la brochure  Lumière Martiniste.: Martiniste"http://fr.calameo.com/read/00091814607fc5a0b45db

http://www.martiniste.org/01_videos.html

Il existe deux formes d'affilation pour devenir membre de l'Ordre Martiniste Traditionnel et étudier ses enseignements :
  • soit être membre d’une Heptade ou d'un Atelier (il est nécessaire d'être également membre de l'A.M.O.R.C.)
  • soit être membre de l’Oratoire (ouverte à tous).

Clin d' oeil musical du jour

La période de Solstice, c’est également la Saint-Jean d’hiver (27 décembre). Il s’agit ici de Saint Jean l’Evangéliste et non de Saint Jean Baptiste fêté, lui, au Solstice d’été.

La période de Solstice, c’est également la Saint-Jean d’hiver (27 décembre). Il s’agit ici de Saint Jean l’Evangéliste et non de Saint Jean Baptiste fêté, lui, au Solstice d’été.
"L’attribut de Saint Jean l’Evangéliste est l’aigle. Pour les Maçons, Saint Jean l’Evangéliste représenterait l’Initié. A noter qu’il fut aussi celui des Templiers et d’autres ordres de chevalerie. Dans certaines Obédiences ou Loges qui utilisent la Bible, le Volume de la Loi Sacrée est ouvert sur le prologue de l’Evangile selon Saint Jean.
Originaire du village de Bethsaïde, Jean était un pêcheur du lac de Tibériade comme son père Zébédée (qui aurait épousé Salomé, la fille d’un premier mariage de Joseph) et son frère Jacques. Ils furent des disciples de Jean le Baptiste qui déclara : Celui qui vient derrière moi est plus grand que moi. C’est Saint Jean Baptiste qui leur montra Jésus de Nazareth en leur déclarant : Voici l’agneau de Dieu. Jean et Jacques devinrent des pêcheurs d’hommes.
Jean est considéré comme « le disciple que Jésus aimait ». Il put le suivre sur la montagne du Thabor pour entendre une voix venue du ciel dire : Celui-ci est mon fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute ma complaisance: Ecoutez-Le. Le Christ le choisit pour s’asseoir à ses côtés lors de la dernière Cène. Et Jean le suivit jusque dans la cour du Grand Prêtre lorsqu’il fut arrêté. Fidèle d’entre les fidèles, il sera le seul parmi les apôtres, au pied de la croix. C’est lui également qui fut le premier au tombeau et découvrit les bandelettes sur le sol.
Selon une tradition, Jean vécut ensuite à Ephèse avec Marie. C’est là qu’il écrivit le 4e évangile. Pendant son exil à Patmos, il eut la révélation de l’Apocalypse (le terme même d’apocalypse signifie révélation).
Saint Jean aurait été amené d’Ephèse à Rome, chargé de fers, sous le règne de ’empereur Domitien. Il fut condamné par le sénat à être jeté dans l’huile bouillante devant l’actuelle Porte latine. Selon un site chrétien, il en serait sorti plus frais et plus jeune qu’il n’y était entré. Il serait décédé en 99 ou en 101."(hiram.be)

vendredi 25 décembre 2015



source : youtube

ALCHIMIE : un entretien avec Patrick BURENSTEINAS - scientifique écrivain et Patrick LELONG - journaliste



J'aurais dû lui dire, j'aurais pu lui dire, j'aurais su lui dire. Entretien avec Patrick BURENSTEINAS - scientifique écrivain et Patrick LELONG - journaliste
déjà publié en 2003.: http://recherchestraditions.blogspot.fr/2013/11/blog-post_22.html

source.: youtube

mercredi 23 décembre 2015

clin d'oeil musical du jour



source.: youtube

mardi 22 décembre 2015

Le Régime Écossais Rectifié - de la Doctrine de la Réintegration à l'Imago Templi


 9782916280233
 Neuf

Rémi Boyer explore le Régime Écossais Rectifié, les instructions aux Profès et Grand Profès et nous démontre que nous devons aller au-delà de ce que les rituels du RER peuvent dire pour chercher ce qu’ils veulent dire.








Extrait tiré du site http://www.baglis.tv
Jean-François Var, dans ce court extrait revient sur l'influence de Martines de Pasqually, Jean-Baptiste Willermoz sur la Franc-maçonnerie chrétienne: le Rite Ecossais Rectifié.
Selon Jean-François Var, la Franc-maçonnerie fut chrétienne, elle ne l'est plus, à deux exceptions près: le RER (Rite Ecossais Rectifié) et la Franc-maçonnerie scandinave.source.: 
Youtube
Le Phénix, 
sceau de l'Ordre rectifié
Merci ! Très bonne lecture !
L'équipe du CERRER
Lire l'article

dimanche 20 décembre 2015

Louis-Claude de Saint-Martin, l'ami de Dieu et de la Sagesse

Présentation de l'éditeur :
En marge de son temps dit du Siècle des Lumières et si moderne aujourd’hui, Louis-Claude de Saint-Martin s’inscrit dans le courant illuministe dont il demeure l’un des plus grands flambeaux. Son œuvre trouve racine auprès de Martinès de Pasqually, auquel il restera fidèle même s’il estimera n’avoir plus besoin de la théurgie coën pour communiquer avec Dieu.
Dès lors, il s’appuiera sur les systèmes pieusement élaborés par Jacob Bœhme, à qui il emprunte le thème de la Sophia.
La théosophie, la christologie et la sophiologie du Philosophe Inconnu ne s’attachent pas au mysticisme, sa pensée est une, originale et entraîne son lecteur vers sa propre régénération, notamment par le désir sublimé de Dieu et la pratique de la prière.
Note de lecture : Après une brève présentation de la biographie de Saint-Martin, Xavier Cuvelier nous propose une sélection de textes extraits des oeuvres du Philosophe inconnu.

Éditions Signatura - novembre 2015 - 128 p.
ISBN 9782915369298


http://www.philosophe-inconnu.com/Livres/Cuvelier-Roy-saint-martin-ami-de-dieu.html