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*** ci-dessous "Livres-mystiques".: un hommage à Roland Soyer décédé le 01 Juin 2011

*** ci-dessous "Livres-mystiques".:  un hommage à Roland Soyer décédé le 01 Juin 2011
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vendredi 27 février 2009

plusieurs articles sur Saint-Martin dans les ouvrages de Sainte-Beuve, notamment les deux articles des Causeries du Lundi


Vous trouverez sur mon site plusieurs articles sur Saint-Martin dans les ouvrages de Sainte-Beuve, notamment les deux articles des Causeries du Lundi

http://www.boutin-jl.net


L'originalité :

chaque citation que fait Sainte-Beuve est accompagnée de sa référence dans "Mon portrait historique et philosophique", Julliard, 1961, publié par Robert Amadou.

Egalement, Critiques et portraits littéraires (Oberman, La Menais tome 1, Lamartine tome 2, Ballanche tome 3) Port Royal (tome II)

---------------------

Sainte-Beuve Charles-Augustin Sainte-Beuve (1804-1869)
Né à Boulogne le 23 décembre 1804

Élu à l’Académie française le 14 mars 1844, au fauteuil 28, en remplacement de Casimir Delavigne. Il fut reçu par Victor Hugo le 27 février 1845.

Il siégea au Sénat à compter du 28 avril 1865un peu moins de 5 années

Rédacteur au Globe (1824-1827), à la Revue de Paris (1829), à la Revue des Deux Mondes (1831-1848) où seront publiés les Portraits littéraires et les Portraits contemporains ; au Constitutionnel (1849-1851) et au Moniteur (1852-1860) où il publie les Lundis ; à nouveau au Constitutionnel (à partir de 1861)

Professeur de poésie latine au Collège de France (1849 – il ne fera qu’un seul cours et encore hué par les étudiants), maître de conférences à l’École normale.

Décédé le 13 octobre 1869

Liens

mercredi 25 février 2009

l' Enigme Philippe, consacré à M. Philippe, sur France 3 Rhône-Alpes, le samedi 4 avril à 15h50.


M° Philippe (1863-1905) buste figurant dans ma propre collection.
http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Vieetparoles/titre.html

http://www.lemercuredauphinois.fr/data/pages_site/traitement_menu.php?id=6


Pour ceux qui auraient raté la diffusion nationale du documentaire de Christel Chabert, l' Enigme Philippe, consacré à M. Philippe, sur France 3, le 17 août 2008, à 0h40 (!), j'ai le plaisir de vous annoncer sa rediffusion sur France 3 Rhône-Alpes-Auvergne, le samedi 4 avril à 15h50.

Je vous invite néanmoins à vérifier l'horaire, la semaine précédant la diffusion, soit sur vos programmes TV, soit directement sur le site internet de France 3 RAA.

dixit : Serge Caillet, historien de l' occultisme.

Sortie du premier volet du nouveau film
http://www.filmsdocumentaires.com

lundi 23 février 2009

Marseille, le 21 mars 2009, suite et fin du cycle "Moïse dans l'OEuvre de Martines de Pasqually". Thème : Le tabernacle et le corps de l’homme.

Il reste quelques places...

Prochain séminaire de 2e cycle, à Marseille, le samedi 21 mars 2009, pour la suite et fin du cycle "Moïse dans l'OEuvre de Martines de Pasqually". Le thème en sera :

Le tabernacle et le corps de l’homme.

Comme nous en avons désormais pris l'habitude – une fois de plus, grand merci à Jean-Claude ! - nous nous retrouverons au CMCI : 2 rue Henri Barbusse - 13001 Marseille.
Je rappelle que l'immeuble se trouve quasiment en face de la grande Poste Colbert. Métro Colbert. Parking Centre Bourse. La salle du séminaire est la salle Provence : 1er étage ascenseur A.
Horaires habituels : 9h30 - 12h30 / 14h00 - 17h00.

déjeuner possible ensemble dans un restaurant tout proche.
Coût habituel du séminaire : 50 € (repas non compris).

Comme vous le savez, le nombre de places est limité à 25. Le séminaire est, comme les précédents, destiné aux étudiants de 2e cycle.

réservation possible auprès de :

serge.caillet@aliceadsl.fr

dimanche 22 février 2009

Esther Lamandier, professeur de Chant Biblique et conférencière.



















Esther Lamandier, professeur de Chant Biblique et conférencière. Après de nombreux récitals et enregistrements, Esther Lamandier s'est engagée dans l'enseignement du Chant Sacré en Hébreu biblique et dans l'Araméen des Liturgies d'Orient.

Elle fonde en 2003, son école de Cantilation et Psalmodie biblique.

http://www.estherlamandier.com/index.html

Pour contacter
Esther Lamandier :
info@estherlamandier.com

jeudi 19 février 2009

Deux mises-à-jour de l'étude sur le Traité de la réintégration des êtres à consulter sur le site du Philosophe Inconnu :

Bonjour,

Pour les amateurs, je vous signale deux mises-à-jour de l'étude sur le Traité de la réintégration des êtres à consulter sur le site du Philosophe Inconnu :

http://www.philosophe-inconnu.com/Maitres/traites_mp1.htm

Le feuilleton continue, qu'il n'est pas prêt à s'arrêter !

Amitiés.

Xavier CuvelierRoy

http://www.cuvelier-roy.com/

mercredi 18 février 2009

De la Matière à la Lumière par BURENSTEINAS Patrick


Quand un scientifique se propose de nous parler de la Pierre Philosophale, il y a de quoi s'étonner ! Et pourtant, Patrick Burensteinas, scientifique de formation, nous décrit le Grand OEuvre alchimique qu'il connaît bien et les conclusions qui se sont imposées à lui concernant notre univers.

Il nous dit qu'entre la science moderne et l'alchimie antique, le point commun c'est la recherche de l'unité, de la Lumière et que le but de l'alchimie, c'est de transformer la matière en Lumière. Celle-ci exerce en permanence une pression sur la matière. Ainsi la Loi de la gravitation telle qu'elle est habituellement interprétée peut être perçue autrement, ce qui ouvre des possibilités quant à la compréhension des phénomènes physiques du mysticisme comme la lévitation et le corps de gloire.
À travers cet ouvrage, le lecteur découvrira que l'alchimie est une curieuse voie où l'on peut trouver quelque chose si on ne la cherche pas et qu'en définitive, il n'y a qu'une seule chose à faire c'est d'arrêter de faire résistance à la Lumière en faisant cesser notre agitation.

Infos Complémentaires
Auteur(s) Patrick Burensteinas
Type de reliure Broché collé
ISBN / ISSN 978-2-35662-011-8
Nombre de volumes 1
Nombre de pages vol. 1 75
Nombre de pages vol. 2
12,50 euros + port.
http://massanne.com/

mardi 17 février 2009

Le 28 et 29 mars 2009 : 2ème SALON MAÇONNIQUE du LIVRE & de la CULTURE à Ronchin (59).




libre circulation profanes


Organisé par les OBEDIENCES MAÇONNIQUES FRANÇAISES, qui regroupent plus de 140 000 francs-maçons et francs-maçonnes, avec le concours de l’INSTITUT MACONNIQUE DE France.

Dans leur diversité et avec leurs spécificités, les obédiences maçonniques françaises défendent les valeurs universelles communes de Liberté, d’Egalité, de Fraternité et de Tolérance qui constituent le tronc commun de la démarche initiatique et spirituelle de tous les francs-maçons du monde.

Les neuf obédiences co-organisatrices sont :

 Grand Orient de France
 Fédération Française du Droit Humain
 Loge Nationale Française
 Grande Loge de France
 Grande Loge Féminine de France
 Grande Loge Traditionnelle et Symbolique Opéra
 Grande Loge Féminine de Memphis Misraïm
 Grande Loge Mixte de France
 Grande Loge Mixte Universelle


En venant participer aux diverses tables rondes qui vous sont proposées, sur des sujets symboliques, initiatiques ou de société, vous aurez l’occasion de rencontrer les représentants des diverses obédiences, les auteurs et les éditeurs des ouvrages que vous pourrez vous procurer et faire dédicacer sur les stands.

Nous remercions les éditeurs qui nous permettent d’organiser pour vous ces deux journées :

 Editions DERVY
 Editions DETRAD
 ENCYCLOPAEDIA UNIVERSALIS
 LA PENSEE ET LES HOMMES
 LUX MONDY PRESS
 CONFORM EDITION
 MAISON DE VIE EDITEUR


Un stand Librairie vous offrira une sélection d’ouvrages philosophiques ou humanistes en provenance de nombreux autres éditeurs français.

Ainsi que les Revues :

 POINTS DE VUE INITIATIQUES
 CHRONIQUES D’HISTOIRE MACONNIQUE
 HUMANISME
 LA CHAINE D’UNION
 INITIATIONS MAGAZINE
 RENAISSANCE TRADITIONNELLE
 CAHIERS DE LA COMMISSION DE L’HISTOIRE DU DROIT HUMAIN


Une EXPOSITION d'objets maçonniques et de CARICATURES ANTI-MACONNIQUES vous
accueillera pendant toute la durée de cette manifestation.

La Franc-maçonnerie participe depuis près de trois siècles à l’élaboration de la pensée occidentale au confluent de tous les courants spiritualistes, religieux et humanistes qui la composent.

Les Franc-Maçons vivent leur diversité et leur engagement dans la société de leur temps.

Pour toute correspondance, réservation ou renseignement :

Association « ACACIA »
3, rond point des Acacias – 59790 RONCHIN
Tél : 06.07.38.88.44./ courriel : mazzola.michel@wanadoo.fr
Avec le Concours de l’Institut Maçonnique de France des éditeurs et des revues maçonniques les Obédiences maçonniques françaises, VOUS INVITENT à PARTICIPER

Maison des Associations
3 rond-point des Acacias – 59790 RONCHIN
Entrée gratuite


2ème SALON MAÇONNIQUE du LIVRE & de la CULTURE

EXPOSITION

D'objets maçonniques & de CARICATURES anti-maçonniques
CONFERENCE PUBLIQUE« CREATIONNISME OU LES DANGERS DU DOGMATISME » par GUY LENGAGNE Ancien Ministre
Samedi 28 & Dimanche 29 mars 2009 2ème SALON MAÇONNIQUE du LIVRE & de la CULTURE
Programme du samedi 28 mars 2008
A partir de 9h – accueil du public 9h30 Inauguration
10h30 – 12h
Temple 5 – Table-Ronde « Histoire de la Maçonnerie dans le Nord» Intervenants :
Daniel MORFOUACE, Josette DECOEN – Modérateur : Catherine DURIG
Temple 6 – Table-Ronde « Le Travail en loge »
Intervenants :
Christian LETHIEN, Catherine FRUGIER – Modérateur : Erick VANDENBERGHE
12h à 14 h30 : déjeuner possible sur place
14h -15h30
T 5 – Table-Ronde « Laïcité et Franc-Maçonnerie »
Intervenants : Michel PAYEN, Alain NATALI – Modérateur : Charles COUTEL
T 6 - Table-Ronde « Maçonnerie et religions »
Intervenants : Jean-Jacques GABUT, Jacques RIFFLET – Modérateur : Roger DACHEZ
15h30 – 16h45
T 5 – Table-Ronde «Les origines de la Maçonnerie »
Intervenants : Roger DACHEZ, Pierre MOLLIER – Modérateur : Alain GIBON
T 6 - Table-Ronde « Tradition et modernité »
Intervenant : Guy DEPOORTER, Charles COUTEL – Modérateur : Denise
TESSIER FLESCH
17h 30
Grand Temple Conférence Publique
« CREATIONNISME OU LES DANGERS DU DOGMATISME » par GUY LENGAGNE
19h30 - apéritif
20h - Dîner

Participation au diner: 25.€ – Réservation obligatoire, dans la limite des places disponibles.

Réservez dès aujourd’hui par téléphone (06.78.20.19.83 ), e-mail (michelle.gosseye@free.fr) ou par écrit, chèque à l’ordre de « Association ACACIA », 3 rond point des Acacias –
59790 – RONCHIN

EXPOSITION
D'objets maçonniques de CARICATURES Anti-Maçonniques

AUTEURS & EDITEURS
Les auteurs dédicaceront leurs ouvrages et répondront au public sur les stands des éditeurs

Programme du dimanche 29 mars 2008 à partir de 9h30 – accueil du public
10h30 – 12h
T 5 – Table-Ronde « Le secret en Franc-Maçonnerie »
Intervenants : Evelyne TUCHSZER, Joël GREGOGNA – Modérateur : Patrick FERROT
T 6 – Table-Ronde « Pourquoi être Franc-Maçon au XXIème siècle ? »
Intervenants : Yves-Max VITON, Michèle MEYFROOT – Modérateur : François JENNY
12h à 14 h30: déjeuner possible sur place
14h -15h30
T 5 – Table-Ronde « Qu’est-ce que l’initiation ? »
Intervenants : Valérie CATELAIN, Jean Marc PETILLOT – Modérateur :
Chantal DUMOULIN
T 6 - Table-Ronde « Les Femmes dans la Franc-maçonnerie »
Intervenants : Yvette NICOLAS, Janet FERNANDEZ – Modérateur : Alain SEDE
16h
Grand Temple : Allocution de Clôture par Georges KOMAR
Ancien Grand Maître de la Grande Loge de France;
Le bar et le restaurant resteront ouverts pendant la durée du salon :

EXPOSITION
D'objets maçonniques de CARICATURES anti-maçonniques dans les années 1930

AUTEURS & EDITEURS
Les auteurs dédicaceront leurs ouvrages et répondront au public sur les
stands des éditeurs
Le 28 et 29 mars 2009 : 2ème SALON MAÇONNIQUE du LIVRE & de la CULTURE à Ronchin (59).

lundi 16 février 2009

samedi 14 février 2009

Dénigrement de l’alchimie dans les IIII livres des spectres de Pierre Le Loyer (1586)


Nous vous informons de la mise en ligne sur le site des Editions de Massanne d'un nouvel article de Carl Lavoie :

Une science pleine de vent :

Dénigrement de l’alchimie dans les IIII livres des spectres
de Pierre Le Loyer (1586)


Jamais, au grand jamais, personne ne conviendra qu’il est absolument inapte à apprécier un art qui est cependant le plus compliqué, le plus verrouillé, le plus hautain de tous.

-Huysmans, Du dilettantisme. Certains, 1889.

Les démonologues du XVIe siècle ont parfois adressé dans leurs pages des reproches à l'alchimie, quelquefois même formulé des doutes quant à sa possibilité. Ces critiques, à l’époque, étaient plutôt inhabituelles sous la plume d'auteurs laïcs. C'est pourquoi lorsqu'on retrouve dans un ouvrage polémique comme les IIII Livres des spectres de Le Loyer1 des pointes décochées contre les paracelsistes, des oppositions aux théorèmes du pseudo-Lull ainsi que des critiques railleuses à l'égard du Grand Œuvre, le fait vaut la peine d’être étudié.

Comme tout phénomène doit être analysé dans son contexte historique et philosophique, nous présenterons brièvement l’époque où l’ouvrage a vu le jour, ainsi que ses vices en matière de méthodologie. Puis nous esquisserons un rapide portrait de l’auteur avant de voir en détail quelques-unes de ses critiques de l’alchimie, ou dans ses propres mots, de cette « science pleine de vent ».

suite sur : http://massanne.com/

vendredi 13 février 2009

Théories & Symboles des Alchimistes d' Albert POISSON


Auteur incontournable de la littérature alchimique, Albert Poisson a écrit, durant sa courte vie, des textes qui ont marqué l’Histoire, même si certaines erreurs ou imprécisions en ont amoindri la portée. Travailleur acharné et infatigable, il nous a quitté à l’âge de vingt-quatre ans, laissant à la postérité la traduction du latin en français des Cinq traités d’Alchimie, Théories et Symboles des Alchimistes, la traduction et le commentaire de Lettre sur les prodiges de la nature et de l’art de Roger Bacon et du Livre des Feux de Marcus Groecus et enfin, une Etude sur les essais de Jean Rey.
Le Théories et Symboles que nous proposons ici est une version modernisée de l’édition Chacornac de 1891. Les nombreuses gravures qui illustrent cet ouvrage ont été peintes à l’aquarelle par Adam Mac Lean, donnant ainsi à ce texte une dimension symbolique supplémentaire.
Théories et Symboles des Alchimistes fait partie des livres indémodables qui apportent au lecteur une vision globale et synthétique de l’Art Hermétique, notamment au débutant. Ne pouvant être considéré comme un traité alchimique au sens strict du terme, ce livre sera plutôt un support idéal et un complément au corpus alchimique existant, exprimant par sa clarté la pensée d’un homme dont le peu de temps passé à vivre aura été entièrement consacré à l’étude du Grand-Oeuvre Alchimique.

Nous sommes heureux de vous annoncer de cet ouvrage tout en couleur.
Gravures aquarelles peintes par Adam Mac Lean

Type de reliure Broché collé
ISBN / ISSN 978-2-911705-10-6
Format : 148 x 210
195 pages
26 gravures couleur
Prix : 38,00 €

http://massanne.com/

jeudi 5 février 2009

POUR LES CHERCHEURS, F.M. DU RER, MARTINISTES, MARTINESISTES... :

UN BON CONSEIL NE PAS RATER CETTE NOUVELLE SOUSCRIPTION DE L' INCONTOURNABLE CD DE L' EDITION COMPLETE DE L' ANCIENNE COLLECTION "L' ESPRIT DES CHOSES"

Vient de paraître

L’ESPRIT DES CHOSES
Ancienne série
1992-2002
CD - 33 numéros
Plus de 3000 pages en PDF
sur un CD version PC uniquement

De 1992 à 2002, parurent 33 numéros de L’Esprit des Choses, rassemblant pour les chercheurs plus de 3000 pages de documents, études et analyses sur les grands thèmes de recherches que s’était fixé le CIREM lors de sa création : Théosophie de Louis-Claude de Saint-Martin, vie des ordres martinistes, l’Ordre des Chevaliers Maçons Elus Coëns de l’Univers, la Franc-maçonnerie du Régime Ecossais Rectifié, la Franc-maçonnerie égyptienne, l’initiation, d’une manière générale.

Vous trouverez dans ce Cd Les 33 premiers numéros de L’Esprit des Choses en PDF sous une interface agréable et pratique.

Centre International
de Recherches et d’Etudes Martinistes
Souscription pour parution fin janvier

Nom :
Prénom :
Adresse :


Commande ... exemplaire(s) du CD des 33 premiers numéros de L’Esprit des Choses, au prix unitaire de 33 euros.

Chèque joint de ................... à l’ordre du CIREM, BP 08, 58130 Guérigny-France.

mardi 3 février 2009

Le Temple du Coeur de Louis-Claude de Saint-Martin (1743-1803).


166.Les instituteurs de la vérité et de la religion ont trop peu distingué les deux substances qui nous composent. Ils ont assimilé la matière à l'esprit, ou plutôt ils n'ont fait qu'une seule chose de ces deux, spiritualisant la matière. Les philosophes, que cette doctrine a repoussée, ont donné dans l'excès contraire; la justesse de leur jugement avait été choquée par cette confusion révoltante et elle ne l'a pas été par une doctrine plus révoltante encore, par laquelle ils matérialisent l'esprit. Ce sont les prêtres qui ont engendré les philosophes, et les philosophes qui engendrent le néant et la mort."

Extrait de l' ouvrage "Le Temple du Coeur ", page 150.

Le Temple du Coeur. Oeuvres posthumes :
Pour Louis-Claude de Saint-Martin (1743-1803), la prière est la clé fondamentale du cheminement mystique, voire de l'initiation.
Elle est l'acte le plus pur dont l'homme soit capable. Le but de ce livre est précisément d'offrir aux, " Hommes de Désir ", aux chercheurs en quête d'Absolu, les conseils éclairés du Philosophe Inconnu sur cet art. La première partie de cet ouvrage est consacrée à des conseils sur la manière de se retirer dans le calme de son temple intérieur, afin de prier. La seconde comporte dix prières mystiques, ainsi que deux recueils de pensées et d'aphorismes.
L'ensemble constitue une œuvre très inspirante pour tout adepte des " vérités éternelles ".

Louis-Claude de Saint-Martin
Broché Paru le : 05/04/2001
Editeur : Rosicrucienne (diffusion)
Collection : martiniste
ISBN : 2-914226-02-0
EAN : 9782914226028
Nb. de pages : 167 pages
Poids : 245 g
Dimensions : 14,4cm x 21cm x 0,6cm

www.drc.fr

lundi 2 février 2009

La perspective ésotérique au prisme de la doctrine catholique...


La perspective ésotérique au prisme de la doctrine catholique...

par David Bisson

L’ouvrage du dominicain Jérôme Rousse-Lacordaire, Ésotérisme et christianisme, se présente comme une vaste étude historique sur le déploiement de l’ésotérisme dans le contexte du christianisme et une analyse acérée de la critique catholique de l’ésotérisme. L’étude met en lumière des liens, apparemment ténus, entre deux formes de “pensée”, dont l’une est née dans le sein de l’autre, et que tout semblerait aujourd’hui opposer. Mais J. Rousse-Lacordaire démontre, au contraire, que le fossé entre l’institution catholique et le cheminement ésotérique n’est nullement infranchissable à partir du moment où les critères de l’évaluation sont clairement énoncés et définis…

L’ouvrage de Jérôme Rousse-Lacordaire intitulé Ésotérisme et christianisme peut renvoyer, à première vue, à l’étude approfondie réalisée par Jean Borella sous un titre quelque peu similaire : Ésotérisme guénonien et mystère chrétien (L’Âge d’Homme, 1997). En réalité, la perspective du dominicain, docteur en théologie, est différente, sans pour autant être contradictoire. Nous dirions qu’elle est à la fois plus restreinte et plus large : plus restreinte parce qu’elle se situe dans le cadre de la théologie, sans faire spécifiquement référence à une expérience personnelle, et plus large parce qu’elle ne se limite pas à l’ésotérisme guénonien, ni ne se cantonne à un aspect particulier du christianisme. Le livre de J. Rousse-Lacordaire se présente avant tout comme une recherche de type universitaire, à la croisée des chemins de la théologie et de l’histoire, tandis que la réflexion de J. Borella dépend davantage d’une approche personnelle, mêlant le vécu chrétien et l’intellectualité guénonienne. Nous observons d’ailleurs que les questionnements du second peuvent, à certains égards, croiser et peut-être même trouver des réponses dans l’étude rigoureuse du premier.

La collection dans lequel paraît l’ouvrage de J. Rousse-Lacordaire, Cogitatio Fidei (Cerf), ainsi que le sous-titre, Histoire et enjeux théologiques d’une expatriation, indique clairement le prisme à partir duquel sera “jugé” le point de vue ésotérique, car il s’agit bien, selon les propres termes de l’auteur, d’une «forme de pensée» et non d’une «doctrine unifiée». En cela, il s’inscrit dans le cadre méthodologique défini par Antoine Faivre comme dans la perspective historique adoptée par Jean-Pierre Laurant. Le but de l’étude consiste justement en la présentation et l’évaluation «des grandes étapes de la critique catholique de l’ésotérisme dans le contexte de l’histoire du développement de l’ésotérisme» (p. 14.). Le rapport provisoire de 2002, nommé Jésus-Christ, le porteur d’eau vive, établi par le Conseil pontifical de la culture et le Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, sert de fil directeur à l’étude de J. Rousse-Lacordaire. Ce rapport, qui se veut «un guide pour les catholiques engagés dans l’annonce de l’Évangile et dans l’enseignement de la foi» (p. 16.), consacre une partie importante à l’examen critique de l’ésotérisme, présenté comme «la matrice du Nouvel Âge». L’auteur reprend, point par point, les avis (le plus souvent négatifs) émis dans ce document provisoire, pour les confronter aux données de la recherche historique, notamment à travers une «étude d’interface entre catholicisme et ésotérisme». Il tisse la trame de ses développements en trois parties distinctes : une première partie revient sur le contexte de l’apparition de l’ésotérisme, à la Renaissance, pour en souligner les liens ténus avec le christianisme ; une seconde partie se penche sur le développement des critiques catholiques à l’encontre de l’ésotérisme (période du XVIIe au XXe siècle) ; enfin, une troisième partie, plus prospective, tente d’établir les critères objectifs, pour ne pas dire scientifiques, d’une évaluation théologique de l’ésotérisme.

Jérôme Rousse-Lacordaire

L’apparition de l’ésotérisme dans un contexte chrétien

J. Rousse-Lacordaire date la naissance de l’ésotérisme comme catégorie autonome en 1471, année de la publication de la traduction latine d’une bonne partie du Corpus hermeticum. Il se concentre, en premier lieu, sur l’expression «philosophia perennis» (1) pour en souligner les métamorphoses au cours de l’histoire. Élaboré en 1540 par Agostino Steuco, évêque de Kisami (en Crète) et bibliothécaire du pape Paul III, la philosophia perennis est une «synthèse de philosophie et de révélation, permise par la commune origine et la fin commune de la sapientas et de la pietas» (p. 45.). Il s’agit d’intégrer, dans un esprit concordiste, le corpus des sagesses anciennes à la nouveauté de la révélation en vue d’affermir et de confirmer le christianisme. Les autorités ecclésiastiques ne condamnent pas le De perenni philosophia, plusieurs fois réédités, même si certains théologiens, comme le jésuite Denys Petau, reproche à Steuco de relativiser la radicalité des vérités chrétiennes en les rattachant à des textes étrangers à la tradition biblique. La notion, reprise par Leibnitz sous le nom de «Perennis quaedam Philosophia», évolue sensiblement puisqu’elle devient le moteur principal d’une conception progressiste du savoir. L’esprit de concorde, propre aux humanistes renaissants, laisse la place à une approche plus éclectique dont la finalité dernière reste la mise à jour d’une vérité proprement philosophique. Au XXe siècle, l’écrivain Aldous Huxley définit la perennial philosophy comme une mystique universelle qui finit par se diluer dans un comparatisme généralisé, écartant ainsi l’origine chrétienne de la notion. De son côté, l’Eglise utilise, pour la première fois, l’expression «philosophia perennis» dans une encyclique de Pie XI (1935). Cette fois-ci, la notion se confond avec celle de la philosophie néo-thomiste et désigne «la somme des vérités métaphysiques qui servent de couronnement à la science et de préambule à la foi» (p. 71.). Maritain ne déclarait-il pas, dans Antimoderne en 1922, «adhérer à une philosophie dont la pérennité est le caractère propre» (p. 72.) ? La question essentielle demeure celle de l’existence d’une antique tradition commune à toutes les traditions.

L’auteur revient, en second lieu, sur les autres affluents de la «philosophie pérenne», décrits par le rapport Jésus-Christ, le porteur d’eau vive comme une «synthèse de magie et d’alchimie de la Grèce antique d’une part, et du mysticisme juif de l’autre» (p. 77). Mettant en perspective les différentes acceptions historiques de la magie, J. Rousse-Lacordaire démontre toutefois que le rapport se réfère essentiellement à la “haute magie”, revisitée par les occultistes et les théosophistes au XIXe siècle — dont… René Guénon dressa la critique la plus radicale, en particulier dans La Théosophie, histoire d’une pseudo-religion et dans L’Erreur Spirite. Il montre aussi que des auteurs comme Ficin ou Pic de la Mirandole ont essayé, dans un contexte chrétien, à côté de la dénonciation de la «magie démonique» de légitimer la place de la magie naturelle et de la magie spirituelle, et d’en approfondir le sens. L’apport des sources nouvelles, néo-platoniciennes et hermétiques pour Ficin, et issues de la kabbale pour Pic, tentent de «concilier la régularité des influences physiques (particulièrement astrales) et le libre arbitre humain sans faire intervenir une instance médiatrice qui se tiendrait plus ou moins en dehors de la nature» (p. 120.). Cependant, l’ambiguïté d’une magie spirituelle, qui reposerait sur le spiritus (Ficin) ou le «grand miracle de l’homme» (Pic), conduit l’Eglise à renouveler sa condamnation de la magie. Quant à la kabbale, elle s’est longtemps insérée dans «la tradition biblique comme une tradition interprétative de dévoilement du cœur chrétien des Écritures vétérotestamentaires» (p. 142.). Puis, elle disparaît peu à peu des préoccupations chrétiennes pour ressurgir, sous une forme tronquée, dans les milieux occultistes. Une nouvelle fois, le creuset chrétien dans lequel la kabbale renaissante a prospéré se dilue dans des conceptions aux tonalités matérialistes et universalistes.

"La vérité du christianisme est celle, absolue et universelle, du Logos, reçue de manière particulière et circonscrite dans l’événement historique de Jésus-Christ".

La critique catholique de l’ésotérisme

Toujours en partant du rapport Jésus-Christ, le porteur d’eau vive, J. Rousse-Lacordaire examine avec minutie les deux principales critiques portées par les autorités ecclésiastiques à l’encontre de l’ésotérisme : le secret de l’initiation et le gnosticisme. Ainsi, il illustre pourquoi «l’histoire de la critique catholique de l’ésotérisme en vint à faire de l’ésotérisme […] sinon toujours un contre-christianisme, du moins l’autre du christianisme, non pas tant parce qu’il lui serait hostile que parce qu’il en serait, terme à terme, l’exact contraire, le négatif ; définissant du même coup et soi et l’autre» (p. 13.).
La longue liste des excommunications de la franc-maçonnerie reflète davantage l’évolution de l’Église que les développements inhérents à l’ordre maçonnique : condamnée au départ pour des motifs essentiellement juridiques, puis dénoncée ensuite comme un véhicule de forces sataniques, la maçonnerie fait encore aujourd’hui l’objet d’une déclaration disciplinaire (Code de 1983) dans laquelle ses principes sont déclarés fondamentalement inconciliables avec la doctrine de l’Église. La critique de l’initiation maçonnique prend, plus précisément, deux formes complémentaires : sur la forme, elle rappelle le risque de confusion avec les sacrements catholiques tandis que, sur le fond, elle conteste le mode pélagien d’auto-perfectionnement de soi, contraire à la grâce divine. Pourtant, l’Église et la franc-maçonnerie ont bien un patrimoine symbolique commun. En rappelant succinctement l’histoire des Rose-Croix et de la franc-maçonnerie, J. Rousse-Lacordaire met opportunément en lumière le creuset chrétien à partir duquel se déploient ces doctrines ésotériques. Il pose d’ailleurs la question suivante : «Est-ce à dire pourtant que la franc-maçonnerie serait, au moins, dans son origine, foncièrement chrétienne ?» (p. 182.). En s’interrogeant sur la place et le sens du symbolisme christique dans le système des grades maçonniques, l’auteur distingue trois grands types d’interprétation :
- un type, prépondérant au XVIIIe siècle, où la franc-maçonnerie s’inscrit encore largement dans le christianisme des Évangiles et des Églises ;
- un deuxième type, qualifié de «théosophique», qui découvre dans la franc-maçonnerie et ses symboles une dramaturgie cosmique du Christ ;
- un troisième type, d’ordre moral, qui ramène la symbolique christique à un enseignement moral.
Au final, la question dirimante reste celle «de la conception que l’on a du rapport de la franc-maçonnerie à ce christianisme au sein duquel elle a historiquement émergé» (p. 184.) : soit ce rapport est jugé essentiel et, dans ce cas, la franc-maçonnerie est intrinsèquement liée au christianisme ; soit il est, au contraire, jugé accidentel et la franc-maçonnerie se détache du giron chrétien. Reste, bien sûr, toute une latitude de positions situées entre ces deux pôles extrêmes.

L’initiation et la transmutation personnelle qui en résulte, catégorie propre à l’ésotérisme selon la taxinomie établie par A. Faivre, conduit l’Église à assimiler la doctrine ésotérique au gnosticisme. Ce mouvement débute au XIXe siècle au moment où la critique catholique fait de l’ésotérisme un phénomène unitaire auquel elle peut appliquer la catégorie hérésiologique de gnosticisme. Or, l’auteur rappelle que les approches doctrinales de l’ésotérisme sont plurielles — d’où la nécessité de le réfléchir comme une «forme de pensée». La dernière critique, sûrement la plus fondée, réside dans l’occultation du spécifique chrétien et de son caractère absolument privilégié. Ce tour d’horizon de la critique catholique, souvent empreint des pesanteurs de l’histoire, mérite en tous les cas une nouvelle réflexion quant aux critères d’évaluation de l’ésotérisme.

Une nouvelle approche théologique de l’ésotérisme

L’analyse historique du déploiement de l’ésotérisme a montré, avec acuité, que la plupart de ses courants — philosophia perennis, magie renaissante, kabbale, franc-maçonnerie — a partie liée avec le christianisme. Dès lors, comment se fait-il que l’ésotérisme se soit, tendanciellement, progressivement éloigné, voire opposé au christianisme, alors même qu’il en est plus ou moins directement issu ? J. Rousse-Lacordaire parle, à ce propos, d’une «expatriation de l’ésotérisme hors de la théologie» (p. 235.) qui oblige, aujourd’hui, à faire un travail préliminaire de distinction entre ces deux formes de pensée. L’ésotérisme recourt à l’imagination créatrice dans une perspective de transmutation individuelle, tandis que la théologie se fonde sur la raison discursive et vise le logos de la révélation. C’est justement sur l’expérience de la transmutation que doit se porter l’évaluation de la théologie : comment juger de la dimension chrétienne d’une expérience ésotérique ?

L’auteur revient, tout d’abord, sur la question de la concordance, autre critère de l’ésotérisme, qui tend à diluer le christianisme dans les autres traditions spirituelles et religieuses. Après avoir rappelé les trois formes de l’appréhension théologique des autres religions (exclusivisme, inclusivisme, pluralisme), il propose de se fonder sur le paradigme christologique et relationnel selon lequel «la vérité que porte et transmet le christianisme n’en n’exclut ou n’inclut aucune autre, mais est en relation avec elle, parce que la vérité du christianisme est celle, absolue et universelle, du Logos, reçue de manière particulière et circonscrite dans l’événement historique de Jésus-Christ» (p. 250.). Il évoque, ensuite, la question fondamentale — notamment dans la perspective d’un rattachement initiatique, selon les termes de la pensée guénonienne — de l’ésotérisme chrétien. Ce dernier, compris comme l’existence d’une tradition secrète venue du christianisme, doit se distinguer du «christianisme ésotérique» qui fait référence à ce qui reste d’ésotérisme, coupé de sa tradition propre, dans le christianisme (2). Le docteur en théologie met ici à profit sa grande connaissance des textes et de l’histoire du christianisme pour explorer cette possibilité d’un ésotérisme originairement chrétien. L’étude évoque, d’un côté, les allusions ou les affirmations qui vont dans le sens d’une tradition secrète des apôtres (Saint Irénée de Lyon, Clément d’Alexandrie, Tertullien, Origène, etc.) et met en lumière, de l’autre, l’influence du judaïsme, dans lequel il existe bien un ésotérisme précis, dans la naissance du christianisme. Au terme d’une enquête approfondie, J. Rousse-Lacordaire conclut : «Précisément parce qu’il s’agirait d’enseignements réservés et oraux, il n’est aucune preuve que de tels enseignements aient été effectivement le fait de Jésus et de ses premiers disciples ; les indices le suggèrent mais ne le prouvent pas» (p. 292.). Ce qui semble certain, en revanche, c’est bien l’existence de pratiques ésotériques déployées au sein du christianisme. L’auteur cite trois exemples de rattachement initiatique, et donc ésotérique, qui s’inscrivent dans la lignée de l’enseignement du Christ : la franc-maçonnerie du Rite écossais rectifié «qui a le plus clairement développé une interprétation christologique de ses rituels et symboles» (p.301), la Fraternité des chevaliers du divin Paraclet et les Frères en Saint Jean. Dans ce cadre, l’auteur ne voit pas d’incompatibilité majeure entre le rattachement à un groupe initiatique et l’appartenance à l’Église catholique. Néanmoins, l’ésotérisme, pour rester chrétien, devra se conformer à deux prescriptions essentielles : sur le plan ecclésial, il ne devra pas conduire ses tenants à se retirer de la communauté chrétienne et de ses modes institutionnels de régulation pour constituer une autre Église, ni instituer une différence de statut entre les initiés et les «profanes» ; sur le plan social, l’ésotériste chrétien devra s’engager dans la voie du Christ serviteur, ce qui signifie qu’il ne concevra pas la «quête ésotérique comme une recherche de pouvoirs et de domination, mais de service» (p. 316.).

On l’aura compris : l’examen critique du rapport Jésus-Christ, le porteur d’eau vive n’est finalement qu’un prétexte à une vaste étude historique sur le déploiement de l’ésotérisme dans le contexte du christianisme. L’analyse de la critique catholique de l’ésotérisme constitue l’autre versant de cette étude et met en lumière des liens, décidément bien ténus, entre deux formes de pensée, dont l’une est née dans le sein de l’autre, que tout semblerait aujourd’hui opposer. L’ouvrage de J. Rousse-Lacordaire démontre, au contraire, que le fossé entre l’institution catholique et le cheminement ésotérique n’est nullement infranchissable à partir du moment où les critères de l’évaluation sont clairement énoncés et définis.

D. B.

Jérôme Rousse-Lacordaire, Ésotérisme et christianisme. Histoire et enjeux théologiques d’une expatriation, Paris, Les Éditions du Cerf, Coll. Cogitatio Fidei, 2007, 366 p.

1) Lire à ce sujet l’étude de J. Rousse-Lacordaire, «Heurs et malheurs de la Philosophia perennis» in La Nature et le sacré (Symbole N°1), Dervy, 2007, 296 p. (NDLR). 2) Lire à ce sujet l’entretien de J-M. Beaume avec J. Rousse-Lacordaire «L’ésotérisme chrétien peut être conçu comme une dimension plus intérieure du christianisme», Lettre électronique de Symbole N°2, Novembre 2006. Les lecteurs soucieux d’approfondir la question de l’ésotérisme chrétien pourront également se reporter à Aperçus sur l’ésotérisme chrétien de René Guénon (Gallimard), à Introduction à l’ésotérisme chrétien de l’abbé Henri Stéphane (rééd. Dervy, 2006) et au remarquable Bestiaire du Christ de Louis Charbonneau-Lassay, Albin Michel 2006, 996 p., 39 euros (NDLR).


http://signes-et-symboles.org/dossiers-symbole/index.php/2007/09/05/113-rousse-lacordaire-esoterisme

Par CEAPT Symbole copyright, mercredi 5 septembre 2007 à 14:56 - Livres - #113 - rss

dimanche 1 février 2009

LES ARCANES SECRETS DU LOGOS À TRAVERS L'ÉVANGILE ÉSOTÉRIQUE DE SAINT-JEAN.


L'Évangile de Saint-Jean, celui des "Initiés" révèle la nature du LOGO...
Vidéo intégrale à :
http://www.ergonia.fr

Neuilly(92)Conférence Le 4 février à 19:30: "Lecture initiatique de la cruxifixion du retable d'Issenheim, en Allemagne".




ASSOCIATION « LE GERME »

J’ai le plaisir de vous informer que notre prochaine réunion aura lieu le :

Mercredi 04 février 2009 à 19 heures 30
« Maison des Associations » (salle A)
2 bis, rue du château
92200 NEUILLY SUR SEINE
(métro pont de Neuilly)

La salle se trouve au fond de la cour.

Contact : 06.89.35.85.59

Nous y entendrons une conférence de Mr Jean-Albert Clergue sur :
"Lecture initiatique de la cruxifixion du retable d'Issenheim, en Allemagne".


Dans l’attente de cette rencontre, je vous assure de mes meilleures pensées.

Michel LEGER.