Chers amis,
Il y a trois ans aujourd'hui, Robert Amadou entrait dans la lumière sans déclin. Nous sommes nombreux, à l'Institut Eléazar, à lui devoir beaucoup, et sans doute suis-je celui qui lui doit le plus.
Mémoire éternelle.
Serge Caillet
1.
Mon frère, mon ami, mon vieux maître s'est endormi, mardi 14 mars 2006, dans la Paix du Seigneur qu'il avait tant cherché et tant aimé toute sa vie terrestre durant, commencée voilà 82 ans. " L'homme peut soutenir l'homme ; mais il n'y a que Dieu qui le délivre " dit le Philosophe inconnu, que Robert Amadou, son vieil ami, a rejoint dans la lumière sans déclin. Le voici donc délivré et nous voici donc orphelins.
Ce serait trop peu, assurément, que de dire que l’occultisme, le martinisme, la gnose, la théosophie, en un mot la Tradition de l’Occident-Orient doivent beaucoup à Robert Amadou. Au vrai, " nous lui sommes tous redevables. Honte à qui s’en dédie ! ". Ainsi s’ouvrait, à l’endroit de Papus, la préface de Robert au livre que le Dr Philippe Encausse a consacré jadis à son père, Papus, le " Balzac de l’occultisme ". Cette sentence, je l’adopte à mon tour, s’agissant de Robert et de son œuvre immense, fruit de plus de soixante ans d’un travail sans relâche, dont le présent hommage, aussi modeste et imparfait soit-il, s’efforcera d’abord de donner quelques lignes majeures... Suite sur :
http://sergecaillet.blogspot.com/2007/05/hommage-robert-amadou.html
samedi 14 mars 2009
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