Posted on 21 avril 2014 by admin
Nous connaissons la suite, la main de l’homme
façonna et institua, par le biais entre autres des
mathématiques et de la géométrie, les maisons
en donnant à chacune d’entre elles une
signification qui, immanquablement, se jouxtait
aux interprétations des signes du zodiaque
(d’où l’analogie Maison-Signe).
Il est navrant de constater qu’aujourd’hui on affirme
encore, avec affront et prétention savante, que la
signification d’une maison n’a rien avoir avec le signe
ou que la maison 1, par exemple, ne doit pas être
confondu avec le signe du Bélier, alors qu’à la
lecture des livres laissés par nos astrologues
contemporains on se rend bien vite compte qu’ils ont
un mal fou à dissocier l’amalgame maisons-signes.
Autant de surcharges insensées et bien inutiles,
d’interactions difficilement dissociables duquel se
laisse piéger bon nombre d’astrologues. Inutile de
chercher la cause de cette problématique et surtout
il serait fort déplacé d’imputer la faute aux nouveaux
venus qui se lancent dans la pratique de l’astrologie et
qui, bien souvent, se trouvent confrontés à ce
dilemme
« Maison-signe » : A qui la faute !?
façonna et institua, par le biais entre autres des
mathématiques et de la géométrie, les maisons
en donnant à chacune d’entre elles une
signification qui, immanquablement, se jouxtait
aux interprétations des signes du zodiaque
(d’où l’analogie Maison-Signe).
Il est navrant de constater qu’aujourd’hui on affirme
encore, avec affront et prétention savante, que la
signification d’une maison n’a rien avoir avec le signe
ou que la maison 1, par exemple, ne doit pas être
confondu avec le signe du Bélier, alors qu’à la
lecture des livres laissés par nos astrologues
contemporains on se rend bien vite compte qu’ils ont
un mal fou à dissocier l’amalgame maisons-signes.
Autant de surcharges insensées et bien inutiles,
d’interactions difficilement dissociables duquel se
laisse piéger bon nombre d’astrologues. Inutile de
chercher la cause de cette problématique et surtout
il serait fort déplacé d’imputer la faute aux nouveaux
venus qui se lancent dans la pratique de l’astrologie et
qui, bien souvent, se trouvent confrontés à ce
dilemme
« Maison-signe » : A qui la faute !?
Doit-on pour autant délaisser toutes les formes de
domifications dans la pratique des Monomères ?
Janduz qui a apporté sa pierre dans l’étude
monomérique utilisa parfois les maisons. Nous la
suivrons pas dans ce sens et délaisserons donc
sans aucun regret les différents systèmes de
domification, que nous avons au demeurant testés
durant trois décennies et sans résultats probants
(sauf pour ce qui concerne l’astrologie horaire).
On ne peut s’empêcher dès lors de penser à
l’occultiste Robert Ambelain (1907-1997), partisan
d’une astrologie traditionnelle (mais laquelle ?) et qui
énonçait avec conviction ce qui suit :
domifications dans la pratique des Monomères ?
Janduz qui a apporté sa pierre dans l’étude
monomérique utilisa parfois les maisons. Nous la
suivrons pas dans ce sens et délaisserons donc
sans aucun regret les différents systèmes de
domification, que nous avons au demeurant testés
durant trois décennies et sans résultats probants
(sauf pour ce qui concerne l’astrologie horaire).
On ne peut s’empêcher dès lors de penser à
l’occultiste Robert Ambelain (1907-1997), partisan
d’une astrologie traditionnelle (mais laquelle ?) et qui
énonçait avec conviction ce qui suit :
Si la sidérale donne de meilleurs résultats en tant
que présages des planètes dans les signes zodiacaux,
il n’en est pas de même avec les étoiles fixes, et là, la
tropique l’emporte sans discussions possible sur la
sidérale. Or les étoiles fixes constituent la clé de
certaines élévations de destinées étonnantes (5).
que présages des planètes dans les signes zodiacaux,
il n’en est pas de même avec les étoiles fixes, et là, la
tropique l’emporte sans discussions possible sur la
sidérale. Or les étoiles fixes constituent la clé de
certaines élévations de destinées étonnantes (5).
Il est tout aussi intéressant de constater que John
Dee dans son excellent Propaedeumata Aphorostica
(1568)se démarquait de l’astrologie classique. Il
n’utilisait pas les maisons et les signes mais faisait
grand cas et avec insistance des planètes et de toutes
les étoiles fixes que devaient impérativement
connaître l’astrologue
(Aphorisme XXX).
http://www.lescahiersdelailleurs.fr/?cat=49