Dernière acquisition, un superbe ouvrage de grand format luxueusement illustré.
Nous avons le plaisir de vous informer de la mise en ligne de la table ronde:
Nous avons le plaisir de vous informer de la mise en ligne de la table ronde:
Resté secret pendant près d’un siècle, la publication du Livre Rouge de Carl
Gustav Jung dans son format original avec son texte calligraphié, ses
illustrations de la main même de Jung, reste sans conteste l’un des évènements
majeurs de ces dernières années pour ceux et celles qui s’intéressent à la
psychologie... domaine que notre monde moderne range sous le doux vocable
anthropomorphique de « sciences humaines »…. terme particulièrement impropre au
regard des enjeux que soulève le Livre Rouge..
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En vente chez :
http://www.amazon.fr/Livre-Rouge-Carl-Gustav-Jung/dp/2352041414/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1347632939&sr=1-1
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DESCRIPTION DE L' OUVRAGE
Source AMAZONE : Extrait
Un
accueil critique exceptionnel
«Jung
a noté et enregistré, comme un sismographe halluciné, tout ce qui
venait surgir de son monde intérieur. Le Livre Rouge met le lecteur
face à deux faits nouveaux : pouvoir enfin connaître Jung à
travers Jung lui-même, son histoire intime ; et être introduit à
cette méthode de travail analytique qui éclaire toute son oeuvre
publiée de savant. Plus qu'un monument érigé au savoir
psychologique, ou plus qu'un document intime et personnel, le Livre
Rouge est la démonstration que les grands penseurs peuvent côtoyer
en eux le gouffre de la folie, sans pour autant y être engloutis...
Nietzsche avait annoncé la mort de Dieu. Jung affirme que les Dieux
qui meurent renaissent en de nouvelles et multiples formes.»
La
Reppublica (Antonio Gnoli)
«L'événement
éditorial de l'année... Le récit de l'expérimentation que Jung a
pratiquée sur lui-même. Dans ses Cahiers secrets, il a analysé ses
rêves, prémonitions, hallucinations. C'est un modèle pour qui veut
pouvoir dialoguer avec sa propre âme. Un document crucial pour
l'histoire des Idées. Le Livre Rouge est un dialogue serré avec sa
propre âme, à l'image du Faust de Goethe, ou du Zarathoustra de
Nietzsche. C'est une sorte de chemin à suivre pour un travail que
chacun peut entreprendre sur soi-même, un véritable exercice
spirituel au sens de l'Antiquité ou de Saint Ignace de Loyola,
exercice orienté vers un renforcement du Moi intérieur, à travers
la mobilisation des composantes les plus irrationnelles et les plus
étranges de la psyché.»
Ore
Domenica (Armando Massarenti)
«Voici
la "Bible Nouvelle" de Jung contre le binôme Freud-Marx.
Si, dans son siècle, Freud a pu régner en hégémonie
intellectuelle, Jung a agi souterrainement dans les profondeurs, sur
des poètes comme Eliot et Yeats, sur des artistes comme Fellini. Un
livre précieux, une oeuvre unique, un livre de riches heures
enluminées comme au Moyen Age, et aussi un livre théâtral, qui
montre et dévoile : nous y lisons comment se forme la conscience
d'un homme qui replace l'âme et le symbole, au centre du siècle qui
fut celui du doute et du nihilisme.»
Avvenire
(Roberto Mussapi)
«Cet
ouvrage est pour Jung son autobiographie spirituelle, sa quête
personnelle. Jung constata qu'il avait perdu contact avec son "âme",
cette âme qu'il avait dû "sacrifier" en devenant un homme
de science. Mais le Livre Rouge décrit, littérairement et par des
symboles, comment il parvient à la redécouvrir.»
The
Economist
«Les
tribulations du livre sont presque aussi troublantes que son contenu
littéraire. Jung le gardait sous clé, il y travaillait secrètement
pendant de longues heures, la nuit ; mais dans la journée il
maintenait une attitude extérieure sérieuse et raisonnable, et une
pratique psychiatrique très chargée. Après sa mort en 1961, le
livre resta gardé dans sa maison devenue un musée, puis en 1984 il
fut déposé dans le coffre-fort d'une grande banque suisse de Zurich
par les héritiers, lesquels refusaient fermement qu'il soit
consulté, même par les universitaires les plus pro-Jung. Pour notre
époque où les limites du positivisme matérialiste sont mises en
question... la confiance de Jung en la dimension spirituelle de
l'homme rencontrera certainement un écho renouvelé. Sa découverte
importante est l'existence de ce monde intérieur, qui est aussi
vaste que le monde externe. Se couper de cela, c'est se couper de la
moitié de soi.»
The
Times (Salley Wickers)
«La
vie de ce bourgeois zurichois, en façade ne présente aucun
désordre. Dedans, c'est l'abîme. Des rêves terrifiants la nuit, un
imaginaire qui défie la lumière du jour, peuplé de figures
maléfiques ou tutélaires. Un sacré "trip". L'homme
s'appelle Jung, et la spéléologie de l'âme est sa passion. Il
plonge. Après avoir traversé l'enfer, porté Dieu sur son dos,
mangé le foie d'un enfant, longuement dialogué avec un sage ailé
nommé Philémon, il réémerge, apaisé, et riche d'une méthode qui
marquera l'histoire de la psychanalyse. En flairant le parfum du
Livre Rouge, on comprend pourquoi les hippies ont fait de Jung leur
auteur fétiche. Et pourquoi lui-même a hésité à mettre ce
journal halluciné entre toutes les mains. "Aux yeux d'un
lecteur superficiel, tout cela n'est que folie", écrit-il
lui-même dans son épilogue, rédigé à l'âge de
quatre-vingt-quatre ans.»
Le
Temps (Anna Lieti)
«II
s'agit d'un livre exceptionnel qu'on croirait sorti du Moyen Age.
Résumé de l'histoire en trois phrases : un homme fait une "sortie
de route" à mi-vie, et il perd son âme. Cet homme part à la
recherche de l'âme. A la suite de nombre de péripéties,
instructives et périlleuses - qui toutes se passent dans sa tête -
cet homme retrouve son âme. C'est une histoire de folie et de génie,
et aussi de possession et d'obsession. Ce livre est l'ouvrage capital
d'un des grands penseurs de notre temps, mais il est longtemps resté
à l'état de rumeur, sous le couvert de sa légende. Comme médecin,
Jung considère que non seulement le corps et l'esprit, mais aussi
bien l'âme des hommes, doit requérir des soins particuliers et
cette idée l'a entraîné dans des régions longtemps fréquentées
par les poètes et les prêtres, mais plutôt délaissées par les
médecins et les scientifiques.»
The
New York Times (Kathryn Harrison)
«On
savait que les hommes passant par une crise du milieu de la vie
pouvaient laisser tomber complètement leur carrière, changer de
relations, transformer même leur corps... mais on n'en connaît pas
beaucoup qui ont délibérément provoqué des hallucinations afin de
converser avec des démons et des divinités. Ces expérimentations
ont conduit Jung à douter de sa propre santé mentale. Mais elles
l'ont aussi encouragé à s'embarquer pour un voyage exploratoire de
seize années, dont le journal de bord est consigné dans ce livre...
Il contient de sublimes passages et d'autres déplaisants, et des
illustrations stupéfiantes mais inspirées, le tout exprimant ce que
Jung a appelé sa "confrontation avec l'inconscient".»
The
Wall Street Journal (Arnie Cooper)
Revue de presse
Ce
"Liber novus", ainsi qu'il est sous-titré fort à propos,
ne relève d'aucun genre. Disons que c'est le journal de voyage
intérieur de sa cosmologie et de sa confrontation avec
l'inconscient, tenu entre 1913 et 1928. Le premier jet a été écrit
sur des cahiers, avant d'être ruminé durant le recopiage de nuit à
l'encre de Chine, par un Jung transcendé en moine copiste d'avant la
Renaissance, d'une écriture gothique calligraphiée en allemand
(avec quelques ouvertures en latin), orné en tête de chapitres
d'enluminures, de lettrines, de cabochons et largement illustré de
gouaches, le tout de sa main, sur des feuilles de parchemin puis sur
du papier fort, recueillis dans un gros volume in folio relié en
cuir rouge, d'un poids de 12 kg. Avant même sa lecture en
profondeur, il suffit de le feuilleter à la passionnante exposition
à lui consacrée au Musée Guimet (freudiens de stricte observance
s'abstenir, jusqu'au 31 octobre, à Paris), pour constater que
l'ensemble est saisissant, tant il permet au lecteur d'accompagner
Jung